14 juillet
Il est 4h du matin. Je me tourne et retourne dans le lit. Prenant garde à ne pas la frôler.
Mais surtout ne pas m'énerver. Parce que les idées fussent dans ma tête. Tellement de mensonges se sont révélés. Quand elle disait être au taf' c'était faux. Quand elle disait téléphoner à son père c'était faux. Quand je lui ai confié les larmes aux yeux que j'avais peur qu'il se passe quelque chose entre elles, cette traîné à oser me dire en me caressant le visage. Qu'il n'y a que moi. Qu'elle m'aime et que....Aaaah! J'ai tellement de haine de rancoeurs, de violence ! Qu'est-ce que j'aimerais lui coller un poings dans la figure!! Aux deux!
À cette punaise de grosse! Et à cette pute de lesbienne!!
Une grosse! Une grosse!! Et moche! Moche!! Aaah! Je sers les poings pour ne pas craquer de rage. Je finis par me glisser en dehors de la couette.
« -Humm? Bébé?
-Ne m'appelle pas comme ça! Dis-je en serrant les dents.
-Chou...?
-Pas comme ça non plus!
-Comment alors...
-Ca c'est ton problème.
En sentant le matelas se relever par l'absence du poids de mon corps elle relève la tête brusquement
-Tu vas ou?!
- Fumer une clope. Ça va me calmer.
-.... »
À l'extérieur, en peignoir et assise sur les marches la clope au bec.
Je suis face à face aux ténèbres. J'entends au loin des feux d'artifice.
« -Joyeux 14 juillet. »
Me chuchote à moi-même. Je fixe mes cendres tombé peu à peu à mes pieds nus.
Je me sens comme les restes d'une bûche qui s'est embrasé trop vite. Il ne reste de moi que des braises. La dernière fois que je me suis autant emporté remonte à si longtemps...
Moi si calme, si posée, si silencieuse j'ai hurlé et hurlé encore. J'ai mal. J'ai tellement mal...
Mes larmes se mêlent à la cendre froide de ma cigarette.
« -Humm? Bébé?
-Ne m'appelle pas comme ça! Dis-je en serrant les dents.
-Chou...?
-Pas comme ça non plus!
-Comment alors...
-Ca c'est ton problème.
En sentant le matelas se relever par l'absence du poids de mon corps elle relève la tête brusquement
-Tu vas ou?!
- Fumer une clope. Ça va me calmer.
-.... »
À l'extérieur, en peignoir et assise sur les marches la clope au bec.
Je suis face à face aux ténèbres. J'entends au loin des feux d'artifice.
« -Joyeux 14 juillet. »
Me chuchote à moi-même. Je fixe mes cendres tombé peu à peu à mes pieds nus.
Je me sens comme les restes d'une bûche qui s'est embrasé trop vite. Il ne reste de moi que des braises. La dernière fois que je me suis autant emporté remonte à si longtemps...
Moi si calme, si posée, si silencieuse j'ai hurlé et hurlé encore. J'ai mal. J'ai tellement mal...
Mes larmes se mêlent à la cendre froide de ma cigarette.
14 juillet matin.
Je me suis finalement endormie avec mes écouteurs, ce qui me fait sursauter quand je distingue le visage de ma ... ex petite amie au-dessus du mien. Je suis au bord du lit à telle point que je manque de tomber.
«-Ne m'approche pas comme ça. Lui dis-je sèchement
-Je... je voulais notre bisous du matin...
Alors pourquoi tu ne demandes pas à ta grosse!? Hurlent mes poings.
-Ne! ... Ne m'énerve pas dès le matin s'il te plaît. »
J'enfile des vêtements, tentatrice dans l'âme je prends soin je me courbé et passé lentement mes habilles. Regarde! Regarde ce que tu as perdu. Une superbe nana bien foutu et sexy.
Ta grosse ne ressemblera jamais à ça! Crient à leurs tours mes fesses galbées et mes petits seins.
Dans la cuisine, je me sers une tasse de café et un bol de céréale complète et du flocon d'avoine. Mon seul aliments pour la journée. Je dois encore perdre du poids.
Plus pour elle mais pour moi. De toute façon j'ai maintenant compris que c'est les bourlés qui l'excitent.
Quand on parle du loup, la louve pénètre dans la pièce.
Son teint tombe en ruine quand elle voit que, contrairement à d'habitude je n'ai pas tout installé. Je n'ai pas sorti ça tasse préféré avec ses trois sucres, je n'ai pas disposer en rond ses biscottes sur une petite assiette. La confiture n'a pas été préalablement sorti du frigo pour ces petites mailles sensible au froid, et je n'ai pas disposé de fruits à sa porter parce que je ne me préoccupe plus de son équilibre alimentaire.
Elle s'assoie silencieusement de l'autre côté de la table.
Réfléchissant à ce qu'elle peut bien manger. Elle n'a jamais été du matin. Finalement, elle installe elle même sa tasse, non pas sa préféré parce qu'elle ne prends pas la peine de regarder dans le lave vaisselle, et se contente de café et biscuits de goûter.
En trempant le premier biscuit fourré chocolat dans le café, elle explose en sanglot quand celui-ci s'écroule au fond de la tasse. À deux reprise je lui demande ce qu'il lui arrive, mais n'ayant pas plus d'information que des reniflements je me tais.
Déjà repu je reverse ma mixture de régime à moitié entamé dans le paquet de céréale que son père m'avait acheté quand il a appris que je faisais attention à ma ligne. S'il savait que je ne suis, non plus au régime, mais que je me sous alimente de dégoût....
Il serait déçu, triste. Et s'il apprenait que je quitte sa fille... Elle ne se rend pas compte la chance qu'elle à d'avoir un père aussi formidable. Il va vraiment me manquer.
Je me suis finalement endormie avec mes écouteurs, ce qui me fait sursauter quand je distingue le visage de ma ... ex petite amie au-dessus du mien. Je suis au bord du lit à telle point que je manque de tomber.
«-Ne m'approche pas comme ça. Lui dis-je sèchement
-Je... je voulais notre bisous du matin...
Alors pourquoi tu ne demandes pas à ta grosse!? Hurlent mes poings.
-Ne! ... Ne m'énerve pas dès le matin s'il te plaît. »
J'enfile des vêtements, tentatrice dans l'âme je prends soin je me courbé et passé lentement mes habilles. Regarde! Regarde ce que tu as perdu. Une superbe nana bien foutu et sexy.
Ta grosse ne ressemblera jamais à ça! Crient à leurs tours mes fesses galbées et mes petits seins.
Dans la cuisine, je me sers une tasse de café et un bol de céréale complète et du flocon d'avoine. Mon seul aliments pour la journée. Je dois encore perdre du poids.
Plus pour elle mais pour moi. De toute façon j'ai maintenant compris que c'est les bourlés qui l'excitent.
Quand on parle du loup, la louve pénètre dans la pièce.
Son teint tombe en ruine quand elle voit que, contrairement à d'habitude je n'ai pas tout installé. Je n'ai pas sorti ça tasse préféré avec ses trois sucres, je n'ai pas disposer en rond ses biscottes sur une petite assiette. La confiture n'a pas été préalablement sorti du frigo pour ces petites mailles sensible au froid, et je n'ai pas disposé de fruits à sa porter parce que je ne me préoccupe plus de son équilibre alimentaire.
Elle s'assoie silencieusement de l'autre côté de la table.
Réfléchissant à ce qu'elle peut bien manger. Elle n'a jamais été du matin. Finalement, elle installe elle même sa tasse, non pas sa préféré parce qu'elle ne prends pas la peine de regarder dans le lave vaisselle, et se contente de café et biscuits de goûter.
En trempant le premier biscuit fourré chocolat dans le café, elle explose en sanglot quand celui-ci s'écroule au fond de la tasse. À deux reprise je lui demande ce qu'il lui arrive, mais n'ayant pas plus d'information que des reniflements je me tais.
Déjà repu je reverse ma mixture de régime à moitié entamé dans le paquet de céréale que son père m'avait acheté quand il a appris que je faisais attention à ma ligne. S'il savait que je ne suis, non plus au régime, mais que je me sous alimente de dégoût....
Il serait déçu, triste. Et s'il apprenait que je quitte sa fille... Elle ne se rend pas compte la chance qu'elle à d'avoir un père aussi formidable. Il va vraiment me manquer.
Je m'enfuis loin des larmes, et rassemble les affaires de bain. Nous partons ce matin.
Tôt pour pouvoir rejoindre les parents de mon...ex pour déjeuner.
Crotte, je ne veux pas manger... une fois par jour me suffit. Je manque de m'écrouler mais je m'en fiche.
Tôt pour pouvoir rejoindre les parents de mon...ex pour déjeuner.
Crotte, je ne veux pas manger... une fois par jour me suffit. Je manque de m'écrouler mais je m'en fiche.
Sur la route, des pensées morbides m'éloigne de ma concentration. Si seulement je pouvais cracher la bagnole. Nous prendre un arbre, une voiture, un camion peu m'importe. Crever juste crever.
Nous sommes silencieuses dans la voiture, hypnotisé par des kilomètres de champs jaunies je lutte pour ne pas dérailler du cerveau. Je finis par lâcher :
«-Pourquoi tu as pleuré ce matin?
-Ça me fait chier dans être venu là avec toi.»
Merde hein. Flûte zut et crotte. Pu... naise.
Nous arrivons enfin à destination. Un semi-camping semi-village. La maison de ses parents nous accueille le portail grands ouvert.
Épuisée, je manque de rater mon premier pas sur le sol. Je me reprends vite et me dirige vers l'entrée de la maison où son adorable père m'ouvre grand les bras, la mère derrière m'offre un beau sourire.
L'air de la campagne à l'air de lui faire un bien fou. Après une installation rapide, je préviens que je vais me reposer un petit peu. Le voyage m'a sérieusement épuisé.
Dans la chambre je me planque sous la couette, au chaud et je prends soin de mettre un petit peu de musique pour me d'étendre et un ibuprofene pour mon crane. N'ayant pas d'eau à proximité je l'avale tel quel mais il reste coincer dans ma gorge.
Je n'ai pas le courage de me relever pour de l'eau, tant pis, ça n'est pas insupportable. Il finira par se dissoudre.
Quelques minutes plus tard, mon ex entre dans la chambre et s'allonge sur moi un paquet de chips dans les pattes.
L'odeur me monte au coeur.
Dans un premier temps je ne dis rien. Mais mon énervement monte, je m'engloutie encore plus sous la couette. Au fil des chansons elle se colle plus, et passe ses mains dans ma nuque et mes cheveux. Plus ça va et plus ça m'énerve.
Nous sommes silencieuses dans la voiture, hypnotisé par des kilomètres de champs jaunies je lutte pour ne pas dérailler du cerveau. Je finis par lâcher :
«-Pourquoi tu as pleuré ce matin?
-Ça me fait chier dans être venu là avec toi.»
Merde hein. Flûte zut et crotte. Pu... naise.
Nous arrivons enfin à destination. Un semi-camping semi-village. La maison de ses parents nous accueille le portail grands ouvert.
Épuisée, je manque de rater mon premier pas sur le sol. Je me reprends vite et me dirige vers l'entrée de la maison où son adorable père m'ouvre grand les bras, la mère derrière m'offre un beau sourire.
L'air de la campagne à l'air de lui faire un bien fou. Après une installation rapide, je préviens que je vais me reposer un petit peu. Le voyage m'a sérieusement épuisé.
Dans la chambre je me planque sous la couette, au chaud et je prends soin de mettre un petit peu de musique pour me d'étendre et un ibuprofene pour mon crane. N'ayant pas d'eau à proximité je l'avale tel quel mais il reste coincer dans ma gorge.
Je n'ai pas le courage de me relever pour de l'eau, tant pis, ça n'est pas insupportable. Il finira par se dissoudre.
Quelques minutes plus tard, mon ex entre dans la chambre et s'allonge sur moi un paquet de chips dans les pattes.
L'odeur me monte au coeur.
Dans un premier temps je ne dis rien. Mais mon énervement monte, je m'engloutie encore plus sous la couette. Au fil des chansons elle se colle plus, et passe ses mains dans ma nuque et mes cheveux. Plus ça va et plus ça m'énerve.
« -Arrête.
-Hein?
-Arrête ça.
-J'entends pas tu parles dans la couette.
Je libère ma bouche et lui sort méchamment:
-Arrête de me toucher ça m'énerve! »
Un silence, puis je l'a sens s'éloigner. Avant que la porte ne claque, elle lance un « je fais des efforts. S'il te plaît... »
Mon cachet et toujours bloquer tous comme ma tête dans les draps. J'ai envie de fumer.
-Hein?
-Arrête ça.
-J'entends pas tu parles dans la couette.
Je libère ma bouche et lui sort méchamment:
-Arrête de me toucher ça m'énerve! »
Un silence, puis je l'a sens s'éloigner. Avant que la porte ne claque, elle lance un « je fais des efforts. S'il te plaît... »
Mon cachet et toujours bloquer tous comme ma tête dans les draps. J'ai envie de fumer.