School-Day

Thérapie clavier

Vendredi 30 novembre 2012 à 21:11

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23 Novembre
Une journée des plus surprenantes. J'en suis encore sur le choque.
Après avoir passé une mâtiné frustrante et désespérante sur mon chapeau que je craignais de ne pas voir fini. J'ai été à deux doigts de laisser tomber, mais je ne voulais pas décevoir mon professeur, pas une nouvelle fois.

Après manger, je laisse mes petites soeurs entre elles, « Allez-vous faire maquiller, je vous rejoindrai ! », et monte dans mon atelier pour finir le peu qu'il me reste sur mon chapeau. Mon professeur me tenant compagnie, il m'apprend qu'il m'a trouvé un stage et que j'ai un rendez-vous avec ma peut-être future patronne dès le lendemain.

A mon tour je descends dans la classe des fleurs plumes ou se sont installées les jeunes filles venu de l'école de Coiffure/maquillage.
Au même moment mes deux petites soeurs sortent de la salle, impossible de décrire à quel point j'ai hurlé de rire en les voyants, j'ai ri tellement fort que la prof des maquilleuses et sorti pour le demander de me calmer, une femme plutôt froide.
J'ai rapidement repris mon calme quand je me suis rappelé qu'on va également me peinturlurer le visage de la même manière, après hésitation je suis rentrée dans la salle,
« -Calmée Mademoiselle ?
-Oh oui »
Je me retrouve maquillée comme une voiture volée, je suis quand même contente d'avoir essayé des faux-cils pour la première fois (et certainement la dernière).
Le défilé c'est ensuite merveilleusement bien passé, je crois avoir été la seule à défiler avec un grand sourire.  Je le reconnais, tous ces regards sur moi, les chuchotements qui me dissent que je suis jolie, m'ont plu.
Il y aura sûrement des vidéos sur le net, si l'occasion se présente je mettrais le lien.
Mais ! Mais mais mais....Aaah. Je ne pensais pas à mal, vraiment. Ca concerne ma petite soeur japonaise qui m'a déclaré sa flamme, puis m'a demandé de sortir avec elle. Je n'ai pas clairement dit Oui, mais ni Non non plus. Quoi qu'il en soit elle est persuadée que l'on sort ensemble...Aaaah....Elle n'a même pas encore 17 ans....
Je me souviens encore quand elle m'a pris les bras et m'a embrassé si maladroitement, je ne peux qu'à peine imaginer son coeur partir en folie. C'est de ma faute aussi, je n'ai pas arrêté de la provoquer, mais c'était juste histoire de l'obliger à la sortir du placard....Dès lundi je prévois de lui briser le coeur.
J'en parle ''vite fait'' à ma mère, elle glousse « Elle n'en mourra pas ! ».

24 Novembre
Je que je suis en train de monté les escaliers de la butte de Montmartre, il faut doux et le ciel est bleu. Même s’il fait si beau il n’y a aucun passant, aucun touristes ni aucun bruit. Je me retourne, courbe le dos puis embrasse la personne qui ce trouve une marche en avale. Tiens ? C’est froid. J’ouvre les yeux et me rend compte qu’il s’agit de mon chat qui m’embrasse…
J’ai bien ris.

Plus sérieusement, j’ai été à mon entretien pour mon stage. Je suis prise, bien entendu et je commence même dès mardi pour une durée de, si j’ai bien compris, plus de deux mois. Etant donner que la boutique n’est qu’a une dizaine de station de chez moi et avec un super environnement de travail je me dit que j’ai une chance de fous. Mais surtout un professeur vraiment génial, qui d’autre que lui à vendu mes mérites ? A réfléchie a un endroit qui me plairait ? Je l’adore !

27 Novembre
Lundi, j'ai purement et simplement fuis ma petite soeur japonaise, je n'aurai pas cru aussi imaginative en ce qui concerne d'evité quelqu'un. Ca doit etre dans la nature du lâche, parce que oui, je suis une lâche et dans toute sa splendeur. Je fuis l'amour que l'on m'offre. Mon admiratrice n'est même pas au courant que je ne viendrai plus au lycée pendant un bon bout de temps.
J'aurais dû la prevenir sur ma personnalité, menteuse, peureuse et lâche. « Je ferai en sorte que tu m'oublies »
Ce matin, je dois passer au lycée pour signer ma convention avant de partir pour mon lieu de stage. J'ai hâte de commencer, vraiment, mais j'en ai le coeur serré quand je pense que je ne verrai plus mes petites soeurs chaque matin, ni mon professeur, ni les adorables cantinières, moi qui aimais tellement faire attention à elles.

Avant de franchir les portes du lycée, je passe voir la gardienne pour la prévenir de ma future absente :
« Et bien ton sourire tous les matins vont me manquer ! » me dit-elle.

A 11h j’arrive à mon lieu de stage, aujourd’hui, demain aussi, chaque jour jusqu'au 22 Janvier. C’est le stage le plus long que je n’ai jamais fait, mais j’essaie de ne pas trop y penser.

Lundi 26 novembre 2012 à 22:11

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22 Novembre
Bien que je me sois réveillée de bonne heure mes longues minutes passé à traîner dans la baignoire m'ont mise plus vite que je ne pouvais m'en apercevoir en retard. Je me presse de tous les côtés de l'appartement pour rassembler mes affaires puis cours jusqu'au métro où je profite d'être assise pour mettre mes lentilles. Certains se révolte de m'entendre dire que je mets mes lentilles dans le métro : « Mes c'est sale ! » « Les microbes ! » disent-ils tous. Je leur hausse les épaules en unique réponse.

Enseignement professionnel :
J'arrive finalement à l'heure. Je m'installe à ma table et continue mon travail.
Nous travaillons tous sur le ''chapeau des catherinettes'' une coutume venu des ateliers de couture de Montmartre, qui veut qu'à la saint Catherine, toutes jeune fille non marié à moinsde 25 ans ''Porte Catherinette'', chapeau fabriqué par la couturiere en portant les couleurs jaune et vert. Couleurs visible afin de signaler à ces messieurs que mademoiselle est libre. Aujourd'hui bien sûr plus question de se marié, ni de jeune fille. Mes camarades masculins porterons comme moi leurs chapeaux jaune et vert.

 Cantine :
Après mangé, je retrouve ma petite soeur japonaise. Qui m'inquiète, elle semble si mal à l'aise aux contactes humain, mais elle semble s'être habitué à moi, à force de la toucher, de lui ébouriffer les cheveux, de la prendre dans les bras sans parler du nombre incalculable de fois où je lui ai tenu la main. Cependant j'ai remarqué un nouveau regarde qui a germé au fond de ses yeux, je ne sais pas encore si c'est de l'admiration ou de l'amour. Je fais mine de rien pour l'instant, s'il s'avérait que c'est de l'amour...Je ne sais pas.

Avant de partir en classe j'accompagne ma petite soeur japonaise jusqu'à sa salle de broderie. Nous croisons le groupe de copine à qui j'ai montré mes dessins et depuis s'autoproclame mes fans. Ce qu'il y a d'intéressant c'est que parmi elles, il y a une fille avec des mèches tressées rouges qui me lance des regards qui veulent tout dire. Ca me fait tout drôle d'être aussi populaire...
Voyant une occasion de m'adresser la parole, elle s'avance vers moi :
-Tu m'apprendrais des mots en Japonais ?
-Ouais pourquoi pas ? Tu veux savoir dire quoi ?
-J'sais pas....L'alphabet ?
-Ah...Alors l'alphabet en japo...
Je suis sur le point d'entrer dans une grande expliquation grammaticale mais une de ces copines me coupe la parole : -Ba, donne lui ton numéro et comme vous....Parlerez...Tout ça. Tu vois ? »
Je souris, oui je vois très bien ! A ce que je vois, la fille aux mèches à parlé de moi a ces copines. Mais je n'ai plus le temps et m'enfuis et boucle la conversation avec un « On se voit à la pause s'tu veux ! »

Malgré le fait que j'ai apporté mes affaires de piscine, la grève des maîtres nageurs se poursuit. Monsieur Thomas en profite donc pour nous réquisitionner et continuer nos chapeaux, dont il s'inquiète de ne pas voir finit pour le défiler. Comme je ne peux pas continuer mon travail, je m'amuse avec le philippin. Un garçon gentil comme tout. On joue par exemple à la ''Battle de regard'' ou au ''passe ou passera pas ?''. Comme des gamins en somme.

Pause : Comme promis je retrouve les brodeuses. Dans le groupe il y a, bien entendu ma petite soeur Japonaise, la Bollywood, une sur-excité de service qui m'appelle ''ma femme'' (Décidément), une grande au dos courbe à force de fréquenter des petites tailles comme les nôtres et pour finir la Portugaise. Sur le banc de la cour intérieur, je parle à la fille aux mèches, décidément très intimidée, elle essaie de trouver avec peu de moyen de quoi me parler et m'interroger. Puis finalement arrive à me demander mon numéro que je lui donne sous le sourire de ces copines qui gloussent joyeusement.

Français :
Il nous manque des notes pour le trimestre alors pour le cour ce n'est pas la suite des ''enfants du paradis'' que l'on voit, mais une rédaction, le thème : « Écrire comme si c'était votre blog » Haha, j'ai été tenté d'imprimer un de mes vieux article mais je me suis tout de même résigné à écrire quelque chose de nouveau. Que je publierais, peut être.

La journée finie, J'apporte chez moi un peu de travail de couture, sinon je ne pourrais jamais finir mon chapeau avant le défilé de demain...

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Eligh
Soul on the road


Samedi 24 novembre 2012 à 15:22

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21 Novembre
Je quitte la maison de mauvaise humeur, avec une nuit blanche derrière moi et un nuage de mélancolie au-dessus de la tête. Triste et inquiète de ne pas réussir à être impeccable pour conserver la confidence de ma mère, à faire tout à la perfection pour recevoir l'amour de mon professeur ou être parfaite pour garder l'admiration de mes petites soeurs.
A la sortie du métro, je reçois des petites goûtes de pluie sur le crane, je me camoufle alors dans mon écharpe la montant au maximum sur mon visage, afin de me préserver de cet intempérie jusqu'au lycée. Où je prie la gardienne de me laisser aller rejoindre le bureau de ma gentille CPE.
Je n'es pas le temps de toquer à la porte, que la CPE lève la tête vers moi :
« Et ba alors, on s'inquiétait ! »
On? A peine le temps de m'interroger que le surveillant arrive derrière moi et poursuit les timides réprimande de sa collègue
« Ba ouais t'imagine ! Deux jours ! »
Le lycée est petit, si petit que le surveillant à le pouvoir de tout connaitre et de tout s'informer, ce qui bouleverse quelque peu mes habitudes de me faufiler entre deux prénoms dans une longue liste de parfois plus de mille élèves.
Sans répondre je sors mon carnet pour noter ma longue absence,
« Tu as le droit de t'asseoir. »
Le visage toujours penché sur mon cahier je lève les yeux vers la CPE, elle me sourit, comprenant bien qu'elle ne désire pas me voir filer aussi facilement, je m'exécute.
Mes fesses posées sur le fauteuil, elle démarre sa séance de devinette :
« -Tu n'es pas venu à cause d'un problème avec tes camarades ?
-Nan j'ai de bons amis.
-A cause de la couture ?
-J'aime la couture.
-Tu sais souvent les jeunes ce mettent eu même de la pression, avec le defilé qui arrive tout ça.
-Je gère très bien ma pression. »
Le ton que j'emploie, froid et exaspérer, fait disparaître le doux sourire de ma si gentille CPE, je regrette déjà, mais inutile de m'excuser :
« J'étais juste fatiguée »
J'achève avec ces mots et laisse sur le bureau mon billet d'absence rose. Evitant le regard du surveillant je quitte le bureau.
Il reste quelque temps avant que la cloche ne nous fasse entendre sa mélodie, je m'installe dans la ''salle de bal'', sur une table pour gribouiller des idées pour le concours de
datSmutti sur Deviantart.
La fashion s'écroule sur la chaise voisine comme une femme hippopotame en soufflant de tous ces poumons, on papote un peu, ou plutôt elle me pose des questions à la chaine, mais j'ai du mal à ne pas répondre avec un détachement et un Je-m'en-foutisme total qui me colle que trop souvent :
« -Pourquoi t'as pas fait une école de graphisme ?
-Parce que je déteste qu'on me dit ce que je dois dessiner.
-J'avoue. »
PSE :
Dans le couloir, devant la porte de la salle j'attends la tête contre le mur que la prof veut bien se montrer.
Les embrassades surprises de mes petits manques de me faire manger le sol :
« -Tu repooonnndais pas au SMS !!
-Ca va ? T'était malade ?
-Nan »

Je leur tourne le dos en entend la clé ouvrir la salle.
Contrôle, la prof récite les questions, lentement, trop lentement, levant les yeux au ciel et expriment mon impatience en fessant sautiller mon genou du bout du pied. Une fois la septième et dernière question dictée, j'écris à toute vitesse les réponses, puis tend ma copie à ma prof à quelque centimètre de moi, elle me fait les yeux en bille l'air de dire « Déjà ?! » pendant que ma camarade la grassouillette qui me fait face mâchouille encore son bouchon de stylo sur la première question.
Les minutes passent, je me balance sur ma chaise, ma voisine de table, la blonde bouclée, s'intéresse à moi :
« -Tu n'étais pas là hier ?
-Nan.
-Malade ?
-Nan.
-Coup de blues ?
Je lui souris, elle est intelligente.
-Mouais.
-Et ça va mieux ?
-Ouais. »
Le cours ne tenant plus que deux minutes, nous sommes libre de nous déplacer.
Je ne la vois pas, mais je sais que c'est ma petite soeur emo qui me pose son bonnet à oreille d'ourson sur la tête, puis elle me masse les tempes à travers la fourrure, c'est si agréable que j'en laisse mon corps s'affaler sur ma chaise, les bras ballant. Ma petite soeur chinoise vient à son tour posé sa tête sur ma cuise. Elles sont si adorables.

Cantine :
A table, comme je l'ai coutume de le faire, je m'empare du verre de ma petite soeur chinoise pour boire une ou deux gorgées. Avant que mes lèvres ne touchent l'eau, elle m'arrête :
« -T'es malade non ?
Je lève les yeux au ciel et bois.
-J'ai l'air d'être malade ?
-Oui.
-A bon ?!
-Oui t'as une toute petite mine.
Ma petite soeur emo réplique elle aussi :
-T'as l'air pas très bien. »
Je pince mes lèvres pour cacher mon sourire, ça me plait qu'elle s'inquiète autant.
« -Je vais bien.
Dis-je pour les rassurer en me levant,
-Tu pars déjà ?
-Moui. »
A la sortie du réfectoire, m'attend ma troisième petite soeur, une franco/Japonaise qui m'attendrit au plus haut point, son côté ''pas sortie du placard'' me charme. J'aimerais l'encourager et détruire ces préjugés sur l'amour.
Je passe une vingtaine de minutes avec elle avant que le reste de la famille nous rejoignent.

Enseignement professionnel :
On me rafraîchie la mémoire, en me rappelant que Monsieur Thomas est absent, et qu'il nous laisse l'atelier pour faire ce qu'on peut s'en lui. Dans mon cas pas grand chose, alors je rejoins ma petite soeur Japonaise sur les escaliers à l'entrée de l'atelier qui fuit ces cours de sport.
Nous parlons à 80 % du temps en Japonais, pour son plus grand plaisir et du miens. Mais parfois elle m'inquiète, le fait qu'elle fuit le sport révèle un complexe sur son corps et qu'elle ne mange pas à midi un malaise encore plus profond.
A 16h30, n'ayant plus rien à faire, je décide de rentrer, je laisse mes deux petites soeurs travailler sur leurs chapeaux, leur donnant à chacune un baiser sur le front, pour les remercier de m'avoir remonté le morale.

Chaque soir plus fatigué que le précédent j'avais juste le temps d'écrire avant de littéralement dormir debout, résulta j'ai accumulé les articles sans les corriger ni les relire. Donc je me rattrape! 

Oh et voici mon dessin (à peine commencé) pour le concours =)

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Lundi 19 novembre 2012 à 16:04


Hebergeur d'image
 
18 novembre
Il y a déjà bien longtemps que je n'avais pas re goûté aux lendemains de soirées arrosés. L'ex de mon ex (ou juste L'ex) dort dans mon lit, je me réfugie dans le salon pour écrire un peu et me souvenir morceau par morceau de la veille.

Alors que je me concentrais sur ma machine à coudre pour remettre à neuf quelques vieux vêtements, mon portable reçois simultanément deux messages, de Monkey et de l'ex m'invitant tout deux à la même ''soirée posée chez Max''.
Je m'attarde quelques secondes sur la question existentiel de, comment au même moment ces deux protagonistes ont eu l'envie de m'inviter à cet instant précis parmi tant d'autre, se trouvant pourtant aux deux opposé de Paris, surtout que je les croyais résignés à laissant tomber à force d'essuyer mes refus de me mêler à ce genre de regroupement de jeunes. Mais tout de même intriguer, j'accepte.
Vers 18h l'ex arrive pour m'emmener avec lui chez Max' dont je n'ai jamais entendu parler. Sur le chemin nous croisons un de ses amis, en route lui aussi chez Max'. A mon grand désarroi je les écoute parler avec dégoût, de leurs derniers vol dans un grand magasin, de leurs amis dont ils prennent malin plaisir à dire du mal, des dernières ''meufs'' qu'ils ont soit disant ''pecho''. Plus les pas avance plus je regrette de l'avoir suivie
On arrive dans l'appartement de ce fameux Max'. Quand l'hôte ouvre la porte il s'étonne de ma présence:
« Ah, t'as invité quelqu'un ? »
Je suis sur le point de réprimer l'ex de l'avoir pas prévenue, mais il me prends par le coup me fessant ravaler mes mots.
A l'intérieur il y a déjà quelques ados, j'aperçois Monkey mais je fais mine de ne pas l'avoir vu et m'installe avec l'ex qui me maintient toujours avec son bras sur le canapé.
« On peut commencer ? »
J'ai bu quelques verres et me suis enfin laissé aller, j'ai arrêté de les prendre de haut, de les traiter de petits cons et me suis mise à parler avec eux.
J'ai même parlé à Monkey, avec un naturel déconcertant.

Dans une nuit bien avancé, je suis rentré tranquillement chez moi portant a bout de bras l'ex bien trop éméché, analysant point par point le rendu de cette soirée.
D'accord je me suis bien amusé, bien ris, mais j'ai toujours cette sensation d'avoir perdu mon temps. Au lieu m'écrouler sur un canapé à picoler, j'aurais pu jouer à Resonance of fate, dessiner, ou lire les voyages de Gulliver. Je n'aime pas aller en soirée, tant pis si l'ex continue à me traiter de Nolife ou autre Geek. Mes animés compte plus que voir ce demi-cerveau, qu'il continue, lui, a se bousiller les neurones, a se battre avec d'aut' type, a trouver sa "vie" plus '"vie" que la mienne.
« -Tiens, quand on parle du loup.
-Hein ?
-Nan rien.
-Déjà levé ?
-Yep, bien dormis ?
-Ouais et toi, tu t'es bien amusé hier soir?
-Moui. »

Dimanche 18 novembre 2012 à 17:14

http://i47.tinypic.com/2dayqh2.jpgCliquez pour voir en grand!

J'ai écrit sur un carnet quelque article que je posterais tranquillement durant la semaine, pour l'heure je poste un dessin histoire de ne pas oublier que j'ai un blog.

Sinon sinon j'explore le nouvel système d'exploitation de notre ordinateur familial, parce que oui, nous sommes enfin libre de windows et autre Macintosh et nous jouons les rebelles en naviguant avec Ubuntu.

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