22 Décembre
L'heure d'aller chez orthodontiste, je ne suis pas anxieuse,c'est juste qu'après une nuits blanche, les yeux on dû mal a rester ouvert. Mais je ne peu me permettre d'être absente, je l'ai déjà été trop de fois.
Étrange sensation dans la rue, je me sens légère, le pas rythmé, l'impression de prendre les choses comme elles viennent. C'est se qu'on appelle la confiance en soie?
J'arrive au cabinet médical, la secrétaire m'accueil et me dirige vers la salle d'attente.
Chaque fois que je viens ici, je pense la même chose: «Cette pièce est d'un mauvais goût!».
Surtout avec ce sapin, cinq guirlandes pour moi a une overdose. Cette obsession qu'on pour la consommation je ne comprend pas, je devrai arrêter de fixée ces loupiotes ça me donne le tournis..
Un ado, entre dans la salle, il ne me prête même pas un regard, s'écroule sur un fauteuil; Sors son portable de sa poche et surveille l'heure toutes les minutes. Comme si il voulait vérifier que le temps de s'écoule pas a l'envers.
Mon orthodontiste m'appelle, par mon prénom, je trouve sa déplacer, et je n'aime pas sa façon de me tenir par l'épaule. La secrétaire se stop devant nous, «Il vaut mieux faire passer le jeune garçon d'abord!
-Oui c'est vrai, aller va te rasoir, je m'occupe du garçon d'abord, parce que lui c'est rapide alors que toi je vais te poser des bagues et tout et tout.»
Des..des bagues?! Je n'étais pas au courant! Ça m'apprendra à n'écoute que a moitié ce que les gens me disent! Moi qui fais de mon mieux pour avoir l'air mature, avec des bagues je deviendrais le clicher total de l'ado de service! Et j'ai la mauvaise impression que le dessin de bob l'éponge sur le mur me nargue...
Après dix minutes de suspension, on prononce de nouveau mon prénom, dans le couloir bordé de miroirs je regard une dernière fois mes dents.
Je m'installe sur le siège bleu, a la merci de ces gants en plastic blanc (ou autre matière...).
Impossible de laisser mon esprit vagabonder, j'ai beau fermer les yeux, chacune de ces manipulation sur mes quenottes me donne des frisons.
En plein supplice, la secrétaire arrive et tend un téléphone a monsieur, qui sens ce soucier de moi prend l'appelle. J'ai l'air maligne comme ça, cette écarte bouche qui me paralyse le visage, et mes yeux qui ne savent plus ou regarder. Me faire poiroter comme une idiote pour raconter a je ne sais qui, qu'il y a un autre dentiste qui a le même nom que lui «Hahaha» On sen fiche !
Il retire enfin ces instrument de me bouche «Tu peux aller te rincer».
Je prend un autre rendez-vous, pour le mois prochain, et tourne les talon non mécontente de quitter cette maison de fous.
23 Décembre
J'ouvre les il est minuit pile, enfin je croie, je ne suis jamais sur de l'heure qu'il est.
J'immerge lentement quand, je suis fusiller de douleur par mes dents, qui aurais cru qu'un appareil faisait si mal?
Je m'engage dans le salon, en espérant d'y trouver ma mère. Personne, je ne suis qu'a demi étonner. J'avale un anti-douleurs, mon chat toujours aussi infectieux se frotte contre ma jambe.
Ma sœur est chez mon père, ce qui fais que je suis toute seul.
A deux heure et demi du matin, ma mère rentre accompagner d'un homme, elle a un sourire euphorique qui la rend idiote.
Le médicament fait enfin effet, je peux m'endormir.
J'ouvre les yeux, mon réveil indique 16h, j'ai dormis douze heures?
La maison est encore vide. Comme j'ai faim, je prend un carre de chocolat, mais avec mes bagues, mordre me fais mal, et je ne peux pas le sucer à cause de mon deuxieme appareil sur le palais.... Je vais devoir supporter ça trois ans....
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Chanson:Dreames
Artiste: Ohashi Trio
L'heure d'aller chez orthodontiste, je ne suis pas anxieuse,c'est juste qu'après une nuits blanche, les yeux on dû mal a rester ouvert. Mais je ne peu me permettre d'être absente, je l'ai déjà été trop de fois.
Étrange sensation dans la rue, je me sens légère, le pas rythmé, l'impression de prendre les choses comme elles viennent. C'est se qu'on appelle la confiance en soie?
J'arrive au cabinet médical, la secrétaire m'accueil et me dirige vers la salle d'attente.
Chaque fois que je viens ici, je pense la même chose: «Cette pièce est d'un mauvais goût!».
Surtout avec ce sapin, cinq guirlandes pour moi a une overdose. Cette obsession qu'on pour la consommation je ne comprend pas, je devrai arrêter de fixée ces loupiotes ça me donne le tournis..
Un ado, entre dans la salle, il ne me prête même pas un regard, s'écroule sur un fauteuil; Sors son portable de sa poche et surveille l'heure toutes les minutes. Comme si il voulait vérifier que le temps de s'écoule pas a l'envers.
Mon orthodontiste m'appelle, par mon prénom, je trouve sa déplacer, et je n'aime pas sa façon de me tenir par l'épaule. La secrétaire se stop devant nous, «Il vaut mieux faire passer le jeune garçon d'abord!
-Oui c'est vrai, aller va te rasoir, je m'occupe du garçon d'abord, parce que lui c'est rapide alors que toi je vais te poser des bagues et tout et tout.»
Des..des bagues?! Je n'étais pas au courant! Ça m'apprendra à n'écoute que a moitié ce que les gens me disent! Moi qui fais de mon mieux pour avoir l'air mature, avec des bagues je deviendrais le clicher total de l'ado de service! Et j'ai la mauvaise impression que le dessin de bob l'éponge sur le mur me nargue...
Après dix minutes de suspension, on prononce de nouveau mon prénom, dans le couloir bordé de miroirs je regard une dernière fois mes dents.
Je m'installe sur le siège bleu, a la merci de ces gants en plastic blanc (ou autre matière...).
Impossible de laisser mon esprit vagabonder, j'ai beau fermer les yeux, chacune de ces manipulation sur mes quenottes me donne des frisons.
En plein supplice, la secrétaire arrive et tend un téléphone a monsieur, qui sens ce soucier de moi prend l'appelle. J'ai l'air maligne comme ça, cette écarte bouche qui me paralyse le visage, et mes yeux qui ne savent plus ou regarder. Me faire poiroter comme une idiote pour raconter a je ne sais qui, qu'il y a un autre dentiste qui a le même nom que lui «Hahaha» On sen fiche !
Il retire enfin ces instrument de me bouche «Tu peux aller te rincer».
Je prend un autre rendez-vous, pour le mois prochain, et tourne les talon non mécontente de quitter cette maison de fous.
23 Décembre
J'ouvre les il est minuit pile, enfin je croie, je ne suis jamais sur de l'heure qu'il est.
J'immerge lentement quand, je suis fusiller de douleur par mes dents, qui aurais cru qu'un appareil faisait si mal?
Je m'engage dans le salon, en espérant d'y trouver ma mère. Personne, je ne suis qu'a demi étonner. J'avale un anti-douleurs, mon chat toujours aussi infectieux se frotte contre ma jambe.
Ma sœur est chez mon père, ce qui fais que je suis toute seul.
A deux heure et demi du matin, ma mère rentre accompagner d'un homme, elle a un sourire euphorique qui la rend idiote.
Le médicament fait enfin effet, je peux m'endormir.
J'ouvre les yeux, mon réveil indique 16h, j'ai dormis douze heures?
La maison est encore vide. Comme j'ai faim, je prend un carre de chocolat, mais avec mes bagues, mordre me fais mal, et je ne peux pas le sucer à cause de mon deuxieme appareil sur le palais.... Je vais devoir supporter ça trois ans....
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Chanson:Dreames
Artiste: Ohashi Trio
Et j'adore Akiakane >w<!!!!