Kira imai7 Janvier
Durant la journée entière je n'ai fait que plonger ma tête dans mon petit livre, si bien qu'il ne me reste plus qu'une trentaine de pages à lire (sachant que j'ai commencée le matin même). Lire est un bon moyen de ce boucher les oreilles, mes camarades toujours aussi...aussi...elles même, ne s'intéressent jamais à mes lectures, donc me laisse dans mon monde.
Français: Nous sommes très peu d'élèves, mais le cours n'en ai pas moins bruyant.
Enseignement Professionnel:
On apprend les «Poches plaquées», c'est très simple, c'est juste un carré, avec des une doublure après tout ce qu'on a fait, ce truc me paraît bien simple. La prof insiste sur «Il faut bien maitriser!» alors on refait plusieurs fois la même poche avec des tissus différents.
Pause:Je m'installe sur les escaliers en face de la salle le livre sur les genoux, deux élèves s'assoie en amont puis deux autres, puis trois, puis quatre et très vite toutes la classe débarque.
Je suis cernée je ne peux plus bouger, je me dois de supporter les coups de coude, les cris à quelques centimètres de mes tympans, et les «Va s'y arrête de lire, là!».
La sorcière sort son appareil photo, elles se prennent toutes en photo les unes après les autres, elles sont d'un narcissisme inconfortable, (Exactement comme, la presque héroïne du livre que je lis).
La hyène, me donne un coup sur la tête avec l'appareil numérique et me gueule dessus comme à un chien «Photo de famille!!» Où je ne clairement pas désirer par la propriétaire de l'appareil et son imbécile de copine qui vient de me frapper, (A mon deuxième entonnement il vient juste d'avoir une situation similaire dans mon livre, ça devient comique ^^).
Je prends un premier clicher, elles sont toutes à faire une pause ridicule, à tirer la langue, où a tendre les bras en l'aire, l'air de dire «Regardez moi je suis conne!», je tends l'appareil mais la hyène me crie «Une autre là!!» je soupire, j'en prends une seconde, ou elles reprennent toutes la même pause, je retends l'appareil et re soupir, un surveillant arrive, c'est le gentil surveillant, qui est le seul adulte à avoir remarqué ma détresse spirituel dans cette école «Vous faites trop de bruits! Il y a des cours à côté!», la plupart des filles ne prennent même pas la peine de le regarder, il m'offre un sourire désolé, son regard me dit «Je suis navré que nos pauvres personne soit témoin d'une telle insulte à l'Humanité, courage un jour les gens qui le mérite serons sauvés».
Ça sonne, mais la prof n'arrive pas, on l'attend pendant 15 minutes (d'après Disneyfan) je suis restée à dix mètres d'elles.
Elles sont laides, toutes égoïstes, violentes , égocentriques, narcissiques et vulgaires. Arriverais-je à construire mon monde parfait fait de douceur et de dentelles, sachant que de telles monstre existe? Que je les ai côtoyée, qu'elles mon touché, qu'elle on entachées mon rêve rose.
La prof arrive enfin, on ce remet au travail, derrière moi, est installées Disneyfan et une fille qui m'aime bien (Je ne sais pas trop comment la surnommer..). J'entends Disneyfan répéter des limiers de fois «Hey je fais quoi ici?» «Et là?» «Mais aide moiiii!!!!», finalement sa voisine craque, et lui sort «Mais tu vois pas que je travaille là?! Tu fais chier à la fin!!» Oh! Exactement les mots que j'aurais aimés lui dire! Vexée Disneyfan change de place, je me retourne et lance un sourire complice à celle qui à exprimée ce que je ne pouvais dire.
Cantine: j'avale, à gros morceau mon déjeuner, et m'en vais.
Il ne fait pas froid aujourd'hui ou alors je suis habillée chaudement, je décide de m'installer sur le banc blanc, dans la cour, la cour est petite, et recouvert d'un toit en plastic opaque. Ici aussi les gens n'y fond qui passer, oui je suis toute seul, oui je peux dire que je n'ai plus d'amis, mais enfin maintenant je m'en fiche. L'époque ou la solitude me poursuivait et terminer aujourd'hui je l'enlace sans aucun complexe.
La sorcière et la hyène passe devant moi, l'une d'elle donne un coup dans mon livre je manque de le faire tomber «T'as fini de lire toi?!» l'autre rit, elles me font pitié, qu'elles mangent mes chaussettes, là sont leurs places!
Sonnerie.
Re enseignement professionnel:
Je suis tranquillement installée, les pieds sur une chaise à coudre, la prof arrive est me gronde «Hey! Enlevez vos pieds! » Je m'exécute, mais visiblement ça ne suffit pas, la prof m'arrache mon travail des mains, essuie la chaise avec, puis le jette par terre comme un chiffons. Cet acte ma déchiré le coeur. Moi, à moi, moi qui fait tous pour être toujours la plus mignonne, qui parle toujours poliment, n'a jamais eu une once d'agressivité, qui n'a jamais broncher pour quoi que ce soit, qui a toujours fait ce qu'on lui demande, je me fais ainsi piétiner le visage.J'ai l'impression, qu'elle vient de me graver dans la peau avec un couteau de boucher «Tu ne vos rien!!».
Math: La prof nous annonce qu'elle a un nouveau plan d'apprentissage, "faire des groupes". Chaque groupe doit se retrouver avec une bonne élèves et deux moins bon, par chance je suis avec deux filles qui m'aiment bien, et que j'aime bien aussi.
Le cours commence, ça me plait de jouer les profs pendant une heure, elles ne boivent pas vraiment mes paroles, mais tend qu'elles m'écoutent.
Français: Nouveau thème en français, les nouvelles, ça! Ça tombe bien!J'ai un p'tit rêve dans un coin de ma tête, écrire un recueille de nouvelle, je suis encore trop jeune pour être publiée, mais si j'apprends des soluces intéressantes en cours, c'est pas de refus!
Sur le chemin de retour, je marche en lissant, un homme me dit «Lire en lissant c'est dangereux! Le livre doit vraiment être intéressant!» le lui sourie avec joie, il n'a pas été impolie, d'habitude je trouve ce genre de commentaire indiscret et même inutile, mais cet homme à était charmant, et ma mise de bonne humeur!