School-Day

Thérapie clavier

Mardi 4 janvier 2011 à 19:43


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4 Janvier

Mon jour de rentrée. Sans doute causer par le stresse, je ne dormis que très peu, a 4H du matin j'étais déjà levé. Qui plus est que par inattention je partis de chez moi une demi heure trop tôt, et bien sur je ne m'en suis aperçu qu'une fois devant mon lycée.
Je m'assoie sur le rebord du canal en face de l'établissement, et ouvre mon livre. «Ni d'Eve ni d'Adam» De Amelie Nothomb, j'aime beaucoup cette auteur.
Une fille de ma classe me sort de mon silence,
«Oh! Une revenante!»
Je lui souris poliment en signe de réponse.
Je sens que ma solitude adore avec qui je viens de passer deux semaines merveilleuse va être balayée par un affreux brouhaha. Sur ces pensées, presque toute ma classe arrivent en parlent fort, elles se sont retrouvées avant de venir ou c'est un hasard ?L'une d'elle me colle un magasine sur la figure en criant «J'y croie paaaas!», apparemment Justine biber à couché avec machin Gomez, en un éclaire toute mon espoir de commencer l'année de bon train c'est écrouler. S'intéresser à ce genre de choses est d'un sous évoluer que j'en reste bouche bée.
La cloche sonne, le troupeau, et moi dedans, entre dans le lycée.

Enseignement professionnel:
Durant toute la première heure, mes camarades non rien fais d'autre que crier «Booonne année!», pourquoi les gens sont ils si attachaient à ce genre de phrases, c'est un signe de politesse mais sortie de leurs bouches tous devient primitif.
Comment j'ai pu supporter tous cela jusqu'ici, je ne m'en souviens plus. Je me demande si je supporterais les sept mois qu'il reste.
Par trois fois la prof me dit «Pose se livre!».
Ou plutôt cinq, puisque les vacances prochaine plus les stages ça fais déjà un mois, et aussi le stage d'un mois en juin.
La prof me crie dessus pour me sortir de mes penser, je me remets au travail.
Pause: Je me dirige prés du radiateur au deuxième étage. Soupir, je l'avais oublier cet endroit.
Cet endroit où même si des gens passent ils ne me regardent pas, où même si la vue par la fenêtre est ennuyeuse je ne peux résister a mis plonger.
Re Enseignement professionnel:
La fatigue s'abat sur moi, je fais tout au ralentit, ou A mon rythme comme le dis trop poliment la prof.
Une jeune fille entre dans la salle, la prof nous explique qu'elle vient pour voir ce nous apprenons, elle s'installe non loin de moi.
La classe est plus bruyante et vulgaire que jamais est pourtant cette stagiaire a l'air de trouver ça drôle, et est presque a laisse, ce que même moi après tous ce temps ne cesse de me surprendre.
Cantine:
Comme d'habitude notre classe mange toutes ensembles, la stagiaire se place a côté de moi, plusieurs fois elle me lance des perches pour engager la conversation, à mon intérêt c'est toujours Disneyfan qui intervient, je suis bien arrêtée sur l'idée d'avaler un maximum de bouffe m'étirer et me tirer.
Aussitôt dis aussitôt fais, je m'enfuis dans mon entre de silence, le CDI.
Je m'installe au fond de la pièce et suis retourné dans mon livre. Je me souviens qui a assez longtemps, la documentaliste ma proposée je ne sais plus trop quoi sur une station de radio qu'elle anime. Et bien aujourd'hui je suis intéressée, mais le problème c'est que je n'ose plus l'abordé, surtout après tous son temps, tant pis je réessaye demain.

Il y a cette fille qui entre dans la pièce, elle a l'air différente, elle l'est de toute évidence, parmi toute ces filles qui mettent des talons et parle de la dernière fois ou elle sont aller en boite, elle a l'air d'une collégienne. Avec sa petite taille, ces habits trop grand, ses cheveux court et sont visage si juvénile que je pourrais la confondre avec un garçon.

PSE:
La prof nous dit que l'on a dix minutes pour réviser, mais même si je ne connais pas la leçon je préfère bouquiner. «Pose se livre !» me dis trois fois de suite la prof.
Le contrôle n'a rien de bien méchant, principalement de la logique, enfin je pense qu'une mauvaise note m'attend tous de même, parce que j'ai bâclée les réponses.
Math: Je n'ai pas mes affaires, la prof ne remarque rien.
Ma voisine s'amuse à faire des cocottes en papier avec les leçons.
Par trois fois la prof me dit «Pose se livre!»
Français: On a une rédaction , ce que j'adore faire, mais pas cette fois. Je déteste le sujet et la typographie imposer.
Théâtral, avec obligation d'utiliser un vocabulaire primaire.
Je déteste n'écrire que du texte, je trouve ça vide venant de moi.Je gribouille sur la feuille de brouillon que la prof nous a distribuée, au grand entonnement de la prof de me voir patauger dans le vide «Allons! Pourquoi vous ne travaillez pas?
-Je ne suis pas motiver par ce sujet.
-Mais vous n'avez pas le choix! Me répondit-elle vexée. La prochaine fois vous avez intérêt a travailler!»
A mon tour je suis vexée, on ne peut écrire si c'est sous la contrainte! La littérature doit venir du coeur!
Anglais:
La dernière heure, je fixe sans répit l'horloge de la salle.
La reprise des cours me fatigue mais, ça m'avais manquée de m'asseoir à mon ordinateur le soir pour remonter le temps et tous vous raconter.

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Artiste: Made In Heights
Titre: All The Places
Album: Winter Pigeons (Songs To Raise Your Dead Spirits)


Samedi 1er janvier 2011 à 0:01

 

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"Shiawase de Alimasuyoni" "Faite que je sois heureuse"
 


Dimanche 26 décembre 2010 à 21:43

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24 Décembre
Avant de pauser ma tête sur l'oreiller, j'ai retiré la batterie de mon portable, et l'ai enterré sous mon lit.
Un après midi d'hiver, alors que Morphée me tenais encore dans ces bras,mon frère entra dans ma chambre, tenant dans les bras une tablette graphique de la part de ma mère.
Je me demande si ma mère avait devinée que je serais plus heureuse si c'est mon frère qui allait me l'offrir.

25
Décembre
Le soleil se couche, ma mère me supplie de l'accompagnée au théâtre. Je suis sur le point de refuser quand elle me dit: «On ira en voiture!». C'est peut-être idiot mais j'adore être en voiture, sa me rappelle quand mon père nous emmenait tous en Toyota au fin fond de la France. Le voyage pouvait durée jusqu'à trois heure. Sa me rend nostalgique.
Dehors, une rafle de vent me glace le sang, je devrais arrêté de mettre des jupes en hiver. Le petit ami de ma mère nous attend dans sa voiture, soupir, ça ne pouvait être que lui.
Je m'installe au fond du véhicule, monte le volume de mes écouteurs, pour ne pas entendre la radio et je peux laisser mes pensés aller au loin.
On arrive à destination, «Bonne soirée les filles!» un "au revoir" aurai suffit.
Dans le halle du théâtre, il y a une sonnerie insupportable, c'est peux être une alarme a incendie mais c'est tous de même lourd.
On rentre dans la salle, ma mère me souffle «Tu verras, il parait que les costumes sont très beau, et...mais enlève tes écouteurs!
-Ça a pas encore commencer.
-Tu écoute quoi?
Elle colle sa joue contre la mienne.
-Qu'es que c'est fort! Beaucoup trop fort!»
Elle n'a même pas fais attention aux mélodie envoutantes de Mono.
Le spectacle commence, la pièce n'avais rien de très impressionnant, "Bonne critique" tu parle. Je me suis ennuyais comme un rat mort. Madame couche avec monsieur, qui n'est pas son marie, et la bonne le sais, mais enfaite elle ne sert a rien, patati patata. Ils jouaient bien mais, le scénario n'a aucun intérêt....
Pour passer le temps je déchire, en petit morceau les billets, sa me fais penser à Anastasia, petite j'adorais ce film, ♫Je me souviens il me semble des jeux qu'on inventai ensemble je retrouve dans un soutire la flamme de mes souvenir♫.
Je tourne la tête vers ma mère pour voir si elle aime la pièce ou non, mais je vois qu'elle dors, (^^') c'est tous elle ça.
Une fois la représentation fini, je réveil ma mère et range mes petits bouts de papiers dans ma boite à lunette.
On se dirige vers le métro, ma mère m'arrête «Tu veux manger japonais?»
Je hoche la tête, je ne sais pas si c'est une bonne idée, mes dents me fond encore mal...
Installées et dégustant de délicieux Gyoza, (malgré mon appareil, je mors a plaine bouche, ça me fais mal mais c'est trop bon!) ma mère parle presque toute seul:
«Tu utilise bien ton portable?»
«Je vois que tu est heureuse quand tu invite tes amies!»
«Ce sors tu dormira sans tes écouteurs!»
Ma mère bavarde comme elle est, arrive à faire dire au serveur tous son parcours jusqu'en France: qu'il a connu la guerre, son frère est mort, qu'il voudrai en parler a c'est fils mais il pense qu'ils sont trop jeune.
Je me demande comment j'ai pu être si renfermer alors que me mère arrive à parler avec des parfaits inconnus.

Je me suis un peu entraînée avec ma nouvelle tablette graphique:
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Jeudi 23 décembre 2010 à 18:15

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22 Décembre
L'heure d'aller chez orthodontiste, je ne suis pas anxieuse,c'est juste qu'après une nuits blanche, les yeux on dû mal a rester ouvert. Mais je ne peu me permettre d'être absente, je l'ai déjà été trop de fois.
Étrange sensation dans la rue, je me sens légère, le pas rythmé, l'impression de prendre les choses comme elles viennent. C'est se qu'on appelle la confiance en soie?
J'arrive au cabinet médical, la secrétaire m'accueil et me dirige vers la salle d'attente.
Chaque fois que je viens ici, je pense la même chose: «Cette pièce est d'un mauvais goût!».
Surtout avec ce sapin, cinq guirlandes pour moi a une overdose. Cette obsession qu'on pour la consommation je ne comprend pas, je devrai arrêter de fixée ces loupiotes ça me donne le tournis..
Un ado, entre dans la salle, il ne me prête même pas un regard, s'écroule sur un fauteuil; Sors son portable de sa poche et surveille l'heure toutes les minutes. Comme si il voulait vérifier que le temps de s'écoule pas a l'envers.
Mon orthodontiste m'appelle, par mon prénom, je trouve sa déplacer, et je n'aime pas sa façon de me tenir par l'épaule. La secrétaire se stop devant nous, «Il vaut mieux faire passer le jeune garçon d'abord!
-Oui c'est vrai, aller va te rasoir, je m'occupe du garçon d'abord, parce que lui c'est rapide alors que toi je vais te poser des bagues et tout et tout.»
Des..des bagues?! Je n'étais pas au courant! Ça m'apprendra à n'écoute que a moitié ce que les gens me disent! Moi qui fais de mon mieux pour avoir l'air mature, avec des bagues je deviendrais le clicher total de l'ado de service! Et j'ai la mauvaise impression que le dessin de bob l'éponge sur le mur me nargue...
Après dix minutes de suspension, on prononce de nouveau mon prénom, dans le couloir bordé de miroirs je regard une dernière fois mes dents.
Je m'installe sur le siège bleu, a la merci de ces gants en plastic blanc (ou autre matière...).
Impossible de laisser mon esprit vagabonder, j'ai beau fermer les yeux, chacune de ces manipulation sur mes quenottes me donne des frisons.
En plein supplice, la secrétaire arrive et tend un téléphone a monsieur, qui sens ce soucier de moi prend l'appelle. J'ai l'air maligne comme ça, cette écarte bouche qui me paralyse le visage, et mes yeux qui ne savent plus ou regarder. Me faire poiroter comme une idiote pour raconter a je ne sais qui, qu'il y a un autre dentiste qui a le même nom que lui «Hahaha» On sen fiche !
Il retire enfin ces instrument de me bouche «Tu peux aller te rincer».
Je prend un autre rendez-vous, pour le mois prochain, et tourne les talon non mécontente de quitter cette maison de fous.

23 Décembre
J'ouvre les il est minuit pile, enfin je croie, je ne suis jamais sur de l'heure qu'il est.
J'immerge lentement quand, je suis fusiller de douleur par mes dents, qui aurais cru qu'un appareil faisait si mal?
Je m'engage dans le salon, en espérant d'y trouver ma mère. Personne, je ne suis qu'a demi étonner. J'avale un anti-douleurs, mon chat toujours aussi infectieux se frotte contre ma jambe.
Ma sœur est chez mon père, ce qui fais que je suis toute seul.
A deux heure et demi du matin, ma mère rentre accompagner d'un homme, elle a un sourire euphorique qui la rend idiote.
Le médicament fait enfin effet, je peux m'endormir.
J'ouvre les yeux, mon réveil indique 16h, j'ai dormis douze heures?
La maison est encore vide. Comme j'ai faim, je prend un carre de chocolat, mais avec mes bagues, mordre me fais mal, et je ne peux pas le sucer à cause de mon deuxieme appareil sur le palais.... Je vais devoir supporter ça trois ans....

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Chanson:Dreames
Artiste: Ohashi Trio


Lundi 20 décembre 2010 à 17:08

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19 décembre
Je dois retrouver, mes deux amies, Mon amie d'enfance et Pingu.
Lever tôt, j'avais hâte de les retrouver. J'enfile mes bottes, et me dirige de bon train au point de rendez-vous. Je dois passer par un parc, il est recouvert de neige, c'est magnifique, le silence, personne au alentour, malgré la neige boueuse et les flaques d'eau que je dois éviter pour ne pas tremper mes petits petons.
J'arrive sur le pont, plus cas les attendre. Comme une étrange habitude, je ne peux m'empêcher d'arriver en avance...
Le vent qui me fouette les joues, mes doigts qui rougissent, je contemple la seine. Quand un bateau passe, des gamins, lui jette des boules de neiges, tant que ça ne provoque pas d'accident, et puis ils ont l'aire de s'amuser, je ressent comme une pointe de jalousie.
Voilà mon amie d'enfance qui arrive, elle me dit que pingu vient juste de se réveiller, et qu'il faut aller là chercher.
On arrive chez elle, le temps d'enfiler un pull, et direction le parc près de chez moi.
Le parc est fermer mais, sans impunité on passe par dessus la barrière, personne n'a encore marcher dans la neige.
On commence juste à s'amuser quand, le gardien nous chasse. Normal après tout c'est fermer. On se rabat alors sur la neige du chemin, le neige et moins blanche, mais ça nous suffit.
Une fois donner vie à notre "Madame neige", les pieds trempés et les main gelées, on ne peu que rentrer pour se réchauffer, et déguster le diner que ma mère nous a promis.
Durant le diner j'aurai bien aimée dire se que je penser à ma mère, mais je ne peux.
Elle prenait plaisir à s'intéresser, à donner conseil, à savoir, et comparer, mes amies et sa famille.
Mon amie d'enfance raconte que sont frère avait été dans le lycée ou j'aurai été si je n'avais été si bête (humm, pas très jolie cette phrase...), qu'il a aujourd'hui un job qu'il adore, et dès qu'il le pourrait s'installera dans un appart' avec sa p'tit amie, alors que mon premier frère est schizophrène et l'autre tourne en rond dans un job à mi temps, qu'ils n'ont ni l'un ni l'autre (ni moi) le bac.
Pingu raconte qu'elle hésite pour quel lycée choisir, pendant que moi a l'époque je n'ai rien foutu «Ce qui arrivera arrivera» disais-je pour que l'on me fiche la paix.
Mon amie d'enfance, raconte qu'elle passera le reste des vacances avec son p'tit ami, et moi, alors que moi, je suis différente. Ma mère là félicite, sa me fait mal, mais je ne laisse rien paraitre. Je ne veux pas montrer mes sentiments, je ne veux même pas laisser aux autres croire que j'en ai.
Elles continuent à raconter des histoires qui laisse entendre qu'elles ont plein d'amis, pendant que moi et mes frères, nous renferme chaque jours un peu plus sur nous même. J'ai mal, mes poumons écrasent mon cœur, mes dents se serrent jusqu'à faire saigner ma gencive, mais je ne dis rien et ne montre rien.
Mes amies mangent avec enthousiasme le plat que ma mère nous a cuisiner. Elle est fière, elle qui est habituée à se que je regarde mon assiette jusqu'à se qu'elle me dise «T'es chiante! Allez casse-toi!».
Je vois qu'elle aimerai pouvoir tous changer dans notre famille, je vois et comprend se qu'elle veut se qu'elle aimerait, mais elle, ne me voit pas, n'entend pas quand mon esprit hurle de douleurs, quand mes yeux me brule à force de retenir ses larmes, quand je stoppe ma respirations pour ne pas craquer, quand je me mord la lèvre pour résister a la tentation d'attraper un couteau et de me l'enfoncer en plein cœur.
Je sais que nous ne somme que des canards boiteux, bon a finir a l'asile. Que nous sommes laid.
Mes amie s'en vont, j'en suis presque soulager, ma mère me mitraille de regard. Tous ça m'a épuisée, je n'ai plus qu'une chose à faire, construire un mur encore plus haut et plus épais pour que se genre de chose n'arrive jamais plus.
Je m'écroule sur mon lit, m'expose les tympans avec les cris de Akiakane, ma mère vient plusieurs fois, mais je ne l'entend pas, et je ne veux pas l'entendre.
Le lendemain je dois encore me lever pour aller voir ma psy, mais je sais déjà que je ne me lèverai pas.

20 Décembre
J'ouvre les yeux, il y a les deux téléphones à côté de mon oreiller, c'est surement ma mère qui les a posée là. Mais c'est pas ça qui a réussie à me réveiller.
J'ai une fois de plus raté mon rendez-vous avec ma psy, je m'en fiche, ras le bol, je suis bien là moi, au fond de lit.
Ma mère tire sur mon draps «Aller c'est l'heure du rendez-vous! J'ai fais exprès l'aller et le retour pour venir te chercher!», tien je m'étais rendormir.
Que faire, il est évident que je ne veux pas y aller, mais comment lui expliquer?
Finalement après des «Humm» et des «Ch'ais pas» elle a abandonnée, et moi je me suis rendormis.
J'ai mis le pied par terre il était, 16h30.

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Music: Wowaka
Song: Akiakane
Movie: Yama_ko


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