4 Janvier
Mon jour de rentrée. Sans doute causer par le stresse, je ne dormis que très peu, a 4H du matin j'étais déjà levé. Qui plus est que par inattention je partis de chez moi une demi heure trop tôt, et bien sur je ne m'en suis aperçu qu'une fois devant mon lycée.
Je m'assoie sur le rebord du canal en face de l'établissement, et ouvre mon livre. «Ni d'Eve ni d'Adam» De Amelie Nothomb, j'aime beaucoup cette auteur.
Une fille de ma classe me sort de mon silence,
«Oh! Une revenante!»
Je lui souris poliment en signe de réponse.
Je sens que ma solitude adore avec qui je viens de passer deux semaines merveilleuse va être balayée par un affreux brouhaha. Sur ces pensées, presque toute ma classe arrivent en parlent fort, elles se sont retrouvées avant de venir ou c'est un hasard ?L'une d'elle me colle un magasine sur la figure en criant «J'y croie paaaas!», apparemment Justine biber à couché avec machin Gomez, en un éclaire toute mon espoir de commencer l'année de bon train c'est écrouler. S'intéresser à ce genre de choses est d'un sous évoluer que j'en reste bouche bée.
La cloche sonne, le troupeau, et moi dedans, entre dans le lycée.
Enseignement professionnel:
Durant toute la première heure, mes camarades non rien fais d'autre que crier «Booonne année!», pourquoi les gens sont ils si attachaient à ce genre de phrases, c'est un signe de politesse mais sortie de leurs bouches tous devient primitif.
Comment j'ai pu supporter tous cela jusqu'ici, je ne m'en souviens plus. Je me demande si je supporterais les sept mois qu'il reste.
Par trois fois la prof me dit «Pose se livre!».
Ou plutôt cinq, puisque les vacances prochaine plus les stages ça fais déjà un mois, et aussi le stage d'un mois en juin.
La prof me crie dessus pour me sortir de mes penser, je me remets au travail.
Pause: Je me dirige prés du radiateur au deuxième étage. Soupir, je l'avais oublier cet endroit.
Cet endroit où même si des gens passent ils ne me regardent pas, où même si la vue par la fenêtre est ennuyeuse je ne peux résister a mis plonger.
Re Enseignement professionnel:
La fatigue s'abat sur moi, je fais tout au ralentit, ou A mon rythme comme le dis trop poliment la prof.
Une jeune fille entre dans la salle, la prof nous explique qu'elle vient pour voir ce nous apprenons, elle s'installe non loin de moi.
La classe est plus bruyante et vulgaire que jamais est pourtant cette stagiaire a l'air de trouver ça drôle, et est presque a laisse, ce que même moi après tous ce temps ne cesse de me surprendre.
Cantine:
Comme d'habitude notre classe mange toutes ensembles, la stagiaire se place a côté de moi, plusieurs fois elle me lance des perches pour engager la conversation, à mon intérêt c'est toujours Disneyfan qui intervient, je suis bien arrêtée sur l'idée d'avaler un maximum de bouffe m'étirer et me tirer.
Aussitôt dis aussitôt fais, je m'enfuis dans mon entre de silence, le CDI.
Je m'installe au fond de la pièce et suis retourné dans mon livre. Je me souviens qui a assez longtemps, la documentaliste ma proposée je ne sais plus trop quoi sur une station de radio qu'elle anime. Et bien aujourd'hui je suis intéressée, mais le problème c'est que je n'ose plus l'abordé, surtout après tous son temps, tant pis je réessaye demain.
Il y a cette fille qui entre dans la pièce, elle a l'air différente, elle l'est de toute évidence, parmi toute ces filles qui mettent des talons et parle de la dernière fois ou elle sont aller en boite, elle a l'air d'une collégienne. Avec sa petite taille, ces habits trop grand, ses cheveux court et sont visage si juvénile que je pourrais la confondre avec un garçon.
PSE:
La prof nous dit que l'on a dix minutes pour réviser, mais même si je ne connais pas la leçon je préfère bouquiner. «Pose se livre !» me dis trois fois de suite la prof.
Le contrôle n'a rien de bien méchant, principalement de la logique, enfin je pense qu'une mauvaise note m'attend tous de même, parce que j'ai bâclée les réponses.
Math: Je n'ai pas mes affaires, la prof ne remarque rien.
Ma voisine s'amuse à faire des cocottes en papier avec les leçons.
Par trois fois la prof me dit «Pose se livre!»
Français: On a une rédaction , ce que j'adore faire, mais pas cette fois. Je déteste le sujet et la typographie imposer.
Théâtral, avec obligation d'utiliser un vocabulaire primaire.
Je déteste n'écrire que du texte, je trouve ça vide venant de moi.Je gribouille sur la feuille de brouillon que la prof nous a distribuée, au grand entonnement de la prof de me voir patauger dans le vide «Allons! Pourquoi vous ne travaillez pas?
-Je ne suis pas motiver par ce sujet.
-Mais vous n'avez pas le choix! Me répondit-elle vexée. La prochaine fois vous avez intérêt a travailler!»
A mon tour je suis vexée, on ne peut écrire si c'est sous la contrainte! La littérature doit venir du coeur!
Anglais:
La dernière heure, je fixe sans répit l'horloge de la salle.
La reprise des cours me fatigue mais, ça m'avais manquée de m'asseoir à mon ordinateur le soir pour remonter le temps et tous vous raconter.
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Artiste: Made In Heights
Titre: All The Places
Album: Winter Pigeons (Songs To Raise Your Dead Spirits)