School-Day

Thérapie clavier

Mercredi 15 décembre 2010 à 20:04

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15 Décembre
Hier je ne suis pas aller en cours, je prend comme responsable mon réveil, une fois de plus il n'a pas sonné. Réveillée par les crie de ma mère, et voyant qu'il est normalement l'heure de partir, (et encore je ne suis même pas sûr que cette imbécile de réveil indique la bonne heure). Sur ce je décide de me recroqueviller dans mon lit.
Et ce matin également je n'ai pas eu le courage de me lever. Mais finalement, après réflexion (Ou plutôt a pile ou face), je me suis dirigé vers mon lycée.
Arrivée, je m'installe devant la salle d'Anglais,assise contre le radiateur mon livre sur les genoux, et mes écouteurs visés. Je savoure mes dernière minutes, avant l'ouragan de gloussement sous lequel je serais ensevelie.
Sonnerie, grande inspiration, mes camarades arrivent, elles me font juste un bonjours, et certaine une bise.
Anglais: Je suis un peu dans mon monde, je ne réagi presque à plus rien:
Ça ne ma pas étonnée quand La hyène à donnée un coup dans le nez d'une fille de la classe telle un babouin qui veut conserver sont territoire
Je n'ai pas fait attention à ma voisine qui à roter comme un camionneur qui a bu douze bières.
Pauvre professeur, je le console en lui demandent de l'aide sur les exercices, que certaine on mangée à moitié pour en faire des boulettes et les lancer sur d'autre.
Français: «Comme cadeau de noël je vais mettre une vidéo!» dit la prof a la classe.
"Le père Noël est une ordure", super choix....J'ai remarqué que devant ce film, j'ai été la seul à ne pas avoir décrocher un sourire. Cette humours basé sur la critique des autres, me laisse froide.
Cantine: Dans la queue, quelqu'un me frappe violemment dans le dos, je me retourne pour savoir qui a pu être aussi bête et violent. La fille violente me fait un signe de la main, «Ah, ce n'est qu'elle...» pensais-je en me retournant, puis elle me refrappe,
«-T'était ou hier?
-Chez moi.» Elle lève les yeux au ciel, c'est plutôt a moi de faire ça!
A table, je n'ai pas grand appétit, les autres le remarque assez rapidement:
«Hey, tu mange ta gaufre?
-Nan prend là.
-Quoi?! Pourquoi elle a eu ça elle! Hey tu me donne ton yaourt?
-Ouais prend le»
Ainsi de suite jusqu'à ce qu'il ne me reste plus que les carottes, je les avale,les gobes presque et m'en vais.
Prévoyante, je me pause directement devant ma salle.
J'ai mal au dos, que je sois debout ou assise j'ai mal. Je voudrai tant être dans mon lit.
La hyène et La sorcière s'approche de moi:
«Tu lis quoi? "La mort j'adore"?! Heee! T'es trop bizarre toi!
-Wech! T'a vu on dirai des fois qu'elle va tuer quelqu'un!»
*Soupir* Qu'est-ce que je disais déjà? Ah oui, en avant pour mon monde parfait fait de douceurs et de dentelles où personne ne dirait de phrase sordide.
Enseignement professionnel:
La prof me signale que je n'ai pas fait de billet de d'absence. Ce n'est pas que j'ai oubliée, mais que pour moi c'est bout de papier ne sont rien d'autre que encombrent. Mais cette fois je n'ai le choix, allons le signer leur papier bleu! Devant le bureau, il y a mon surveillant préférer.
Une fille de ma classe arrive derrière moi, elle cherche le cahier de texte, en me voyant elle me dit:
«-Souris un peu! Tu souris jamais!
-Hmmm...
-Elle a un sourire intérieure!»
Ça ma touché, et sa présence me redonne du courage!
Qui s'estompa au bout d'une heure,  je ne suis plus fatiguer je suis carrément dans les vapes. Ma prof ne manque pas de me le faire remarquer. Entre des «Vous êtes toujours avec nous?» ou des «Courage c'est bientôt les vacances!», qui me donne encore plus envie de dormir.

Dans le metro, un homme me bouscule,il se retourne et fais un signe de la main pour s'excuser. C'est peut-être une erreur mais sur le moment j'ai tout de suite devinée que cette personne était malentendante.
Peut-être a cause, du faite qu'il n'a pas ouvert la bouche, ou de ces yeux. Ils étaient si expressif, j'en était abasourdie. Un simple regarde lui a suffit au détriment d'une longue phrase inutile.

Lundi 13 décembre 2010 à 20:45

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11 Décembre
Mon chat se colle à moi en ronronnant pour me réveiller. J'ouvre les yeux temps bien que mal, les idées encore confuses et les membres lourds.
Mon réveil indique 1h du matin. Impossible, il a un grand soleil dehors. Ce truc n'arrête pas de ce dérégler, mais je n'ose pas me plaindre auprès de ma mère.
Ça n'a de toute façon aucune importance.
J'entre en titubent dans le salon, personne, un mot sur la table:
«Ma chérie, je serais absente toute la journée, et ta sœur est chez ton père. J'ai préparée ton déjeuné que tu pourras réchauffée (Mais ne mange pas dans le plat!).
Bisou maman.»
Je reviendrais quand j'aurais faim, me dis-je. En attendent, je suis retourné au fond de mon lit, le livre sur les genoux, et mon radiateur monté à fond.
Je suis dans un cocon, aucune présence, sans sentiments ni ressentiments, sans soutient ni aide,  je suis sereine et pas besoin de m'épanouir ni d'avenir. Que mes ailes sois noir ou blanche, tachées de sang ou immaculées, je m'en fiche, elles n'appartiennes qu'a moi.

13 Décembre
Vendredi dernier une fille m'a promis de m'accompagner au gymnase. Très gentil de sa part, sauf que je suis partis trop tard de chez moi, j'ai donc du courir de toute mes forces pour ne pas être en retard.
Arrivée au point de rendez-vous (pile à l'heure), personne, elle est peut-être en retard, elle habite loin après tous.
Vingt minutes plus tard, mes pied geler, mes mains immobilisées et mes lèvres qui tremble je jette l'éponge. Je ne vais pas l'attendre éternellement.
Je marche un peu au ralentit, en direction d'un arrêt de bus. Mais je vois le bus en question sortir du carrefour, aucune envie de le rater, et commence a courir, mais deux ado me barre la route, après hésitation, je me décide a les bousculer un peu pour pouvoir passer. J'arrive a auteur du bus quand celui-ci démarre, mais ne ralenti pas, et me laisse sur le trottoir. Les deux imbéciles d'ado rient derrière mon dos, si seulement ils n'avaient pas été là, les cinq seconds que j'ai perdu au cause d'eux ne m'aurais sans doute pas fais perdre mon bus.
Je regret de n'avoir pas pris mes gants, je regret d'être sortis de chez moi, je regret d'avoir fais confiance a cette fille, je regret de ne pas pouvoir tous contrôler.
Le second bus arrive enfin, je n'ai qu'une envie: Me cacher au fond de mon lit, a rêver, m'évader, m'enfuir, me sauver dans mon monde parfait fait de douceur et de dentelle.

Horreurs! Je suis en retard pour mon cours de japonais! Ça m'apprendra à faire une sieste en plein milieu de la journée! Ce n'est plus de mon age (ou pas encore). Je cours de gauche a droite dans toute la maison. Je crie a moi même: «Pourquoi faut-il que ce soit maintenant que tu perde tous?!».
J'enfile mes converses, sans prendre le temps de faire mes lacets, et attrape mon sacs sans vérifier si j'ai bien toute mes affaires, puis cours enfin vers le métro, mais rate le rate de 3 millième de secondes...J'en ai marre de courir pour pouvoir plus facilement admirer ce que j'ai ratée.
Le deuxième arrive, j'entre et m'écroule sur un siège. En face de moi, une ado, peut-être du même age que moi, ou plus jeune peut-être...Mais elle portait un magnifique manteau blanc signé Putumayo. Ah! Jalousie quand tu nous tiens. Je ne peux me comparer a elle:
Elle au moins elle peut s'exprimer avec ses vêtements, moi je me fond le plus possible dans la masse. Elle au moins ne dois pas avoir de cicatrices sur les bras. Elle attire toute l'attention, elle le sais, et ça lui plait. (Ah, j'ai peut-être de plus jolie cheveux qu'elle).
J'arrive a ma station, le cours vient juste de commencer,je cours encore et toujours. J'ai l'impression d'avoir passer ma journée à courir. Je suis finalement arriver a bon ports, un peu en retard et essoufflée.

«L'existence se résume à endosser des rôles, lequel me convient le mieux? Entre ma physionomie démoniaque et mon apparence humain?» La mort j'adore tome 2, Alexis Brocas.
 

Vendredi 10 décembre 2010 à 22:06

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10 Décembre
De chez moi, jusqu'au lycée, je n'ai pu sortir mon nez de mon livre, (La mort, j'adore tome2, Alexis brocas). Heureusement pour moi, plus aucune trace de neige ou de verglas au sol.
Devant les portes, il y a une fille du CAP voisin et Pepito, dès que je suis a leur porter l'une d'elle marche le livre des mains,
«-Tu lis quoi?
-Un livre.
-La mort? Et c'est pas bien!
-De quoi?
-T'ira en enfers!
-(Oh! Pauvre de moi!)»
Français: Ma voisine de table,Disneyfan, voulant attraper mon livre mais fait tomber ma trousse, je suis obliger de me plier en deux, ramasser chacun de mes pauvre stylo. Tout ça juste pour dire
«Tu lis quoi?
-(Parce que tu sais lire maintenant?)
-Waa! Tu va lire tous ça!? Moi j'aime pas lire! J'arrive pas a imaginer, ch'ais pas comment tu fais. Pour moi, ça me tuerai de lire tous ça!»
Moi par là, moi par ci, c'est bon tu as suffisamment pris toute la place sur la table pour que je remarque que tu existe!
Enseignement Professionnel: Toujours mon livre a la main, ma prof intriguée zieute indiscrètement mon livre:
«Vous lisez toujours des trucs trash!
-A bon, (C'est le premiers livre que je ramène depuis le début de l'année et elle dit "toujours" ?)
-Qu'est-ce qui vous plait dans la mort ?
-(C'est quoi cette question?) Il ne faut pas se fier à la couverture d'un livre»
Elle n'a rien répondu, ou alors elle ne m'a pas entendu.
La prof nous distribue, nos feuilles d'hier, quand je vois mon travail bâclé, j'ai honte de moi.
Apparemment, la figure n'était pas finie, alors on continue les tracés. Ce qui ne m'enchante pas vraiment, c'est ennuyeux et les autres filles n'arrêtent pas de me demande, «Et je fais quoi après?» et La fille que tous le monde déteste, n'arrête pas de me couper la parole pour répondre a ma place. Dans un sens ça m'arrange parce que petit a petit,les autres commence a allez a la voir, mais dans l'autre, j'ai horreur que l'on me coupe la parole!
*Sonnerie* «Après la cantine, on finira les jupes! Vous aurez trois heurs pas une minutes de plus!»
Cantine: Il y a des spaghetti avec des bouts de jambons, et une sauce blanchâtre non identifier. J'avale sans réfléchir, j'ai juste faim. Ce que je le regretta rapidement, juste après avoir avalée le dernier p'tit bout de jambon, je me senti lourde et un mauvais goût dans la bouche (Berk). Il faudrait que je pense à faire attention à ce que je mange dorénavant.
Quand je me dirige, vers mon endroit favoris (Le radiateur), la place est déjà prise par des gens, j'essaie a l'étage au dessus, pris aussi. Tan pis je m'installe, sur la dernier marche du dernier étage et mon plonge dans mon livre.
L'homme qui habituellement s'occupe du CDI passe a côté de moi,
«Bonjours.
-Bonjours.
*Il s'arrête*
-humm?
-Vous voulez aller au CDI ?
-Euh m'oui (Pourquoi pas)»
Je m'assis tous au fond de la salle. Je suis totalement plonger dans mon histoire.
«-Mademoiselle!!
-Oui?
-Ça a sonné!
-Ah! Merci.»
Le nez entre les pages, je descends les marches pas très motiver, à la porte de ma salle, fermer, je me demande si elles sont déjà rentrées. Je me dis «Je fini juste mon paragraphe et je rentre.»
Une main ce pause sur mon épaule, je sursaute:
-Oh! Je voulais pas te faire peur, qu'est-ce que tu attend?
-Ri...Rien!
-Allez rentre en cours!»
Je hoche la tête en signe de réponse.
Il ouvre la porte, comme si n'avais pas la force physique ou mental de la pousser moi même. Ce surveillant à quelque chose de très doux, je l'aime bien, à chaque fois qu'il me voit, il me souris, et a un regard qui semble me dire, «Aller courage!».
Enseignement Professionnel:
Quand j'entre dans la salle, toutes les élèves sont déjà là, je m'assoie à ma place, personne ne me questionne ou ne fait attention a moi. Agréable surprise. Sur ma jupe je n'ai plus que le ourlet à faire, je fini en 10 minute, a mon grand regret. Je n'ai plus rien à faire maintenant...
Je profite que la prof est concentrée sur un travail, pour me replonger dans mon bouquin.
Une demi-heure avant la fin du cours, la prof nous annonce «Bon tous le monde range! Dès que ça sonne tous le monde dehors!». Je ne prend même pas la peine de ranger quoi que ce soit, le monde s'affaire autours de moi, j'aime n'être qu'une spectatrice.
«Hey!
-....
-Hey!
-Hein?
-T'as déjà eu un copain?
*Je secoue la tête*
-Un amoureux?
*Je re secoue la tête*
-T'aime les filles?»
J'ai eu un moment d'hésitation et je lui fais non de la tête.
Je déteste que l'on me pause ce genre de questions, c'est indiscret, et ça ne regarde que moi.
«Espèce de sale intelo'!
-Qui moi?
-Oui twa!
-Oh! Merci!
-Pourquoi tu dis ça?
-Parce que tu viens d'avoué que je suis plus intelligente que toi.»
Math:
La prof nous distribue, des cahiers, «Page 93, exercice 13!». Oh! Qu'elle plaisir, construction d'une figure géométrique, j'ai toujours adorée ces exercices, on ne sait jamais ce que ça va donner à la fin. Et c'est toujours magnifiquement Logique!

Re Français:
Pendant que les autres lisent, le livre imposé par la prof, moi je lis le mien. Elle le vois très bien, mais ne dis rien, sans doute trop occuper par mes camarades.

Dans le metro: Je marche en lisant, (ce qui est déconseillée, mais je connais le chemin par cœur alors...), un homme me pousse, ça m'énerve jusqu'au moment ou je vois qu'il accompagne un mal voyant, et le guide. Je ne sais pas comment réagir, peut-être m'a t-il dit «pardon» à plusieurs reprise mais moi avec mes écouteurs, on peut toujours me crier dessus je n'entendrais jamais rien, mais en même temps, on ne pousse pas une jeune fille!

En rentrent chez moi, je croise La fille de l'immeuble, elle est si jolie, j'adore quand elle me souris. Rien de plus réconfortent, après avoir du essuyé de mes joues toutes traces du monde que je côtoie. Et la façon, dont elle me dis bonsoir, c'est si..si...charment. Sortant de sa bouche les mots les plus banals on l'air si exceptionnel.

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ED, Panty & Stocking with Garterbelt.




Jeudi 9 décembre 2010 à 22:38

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9 Décembre
Je suis arrivée en avance au lycée, et comme hier personne n'attend a la porte. Contrairement au début de l'année où il faisait plus chaud, plein de filles attendaient souvent une demi heure avant l'ouverture des portes, mais là on dirait qu'elles contrôle toutes a quel heur elles arrivent au lycée. Je me demande comment elles font. Moi, en attendant la demi, je m'amuse a faire des va et vient sur le trottoir encore couvert de neige, j'adore marcher dans la neige, ce bruit et le sol qui semble s'affaisser, l'hiver fait retomber en enfance!(Même si techniquement on n'est pas encore en hiver).
La porte s'ouvre, étant sur que la prof,comme les élèves arriveraient en retard je pris l'escalier pour aller me scotchée au radiateur. Je me dis que au cas où mes camarades arriveraient, je n'aurais aucun mal pour les entendre.
Une demi heure plus tard, j'entendis:
«-Madame!
-Wech, madame on a attendu longtemps!
-Oui je suis tombée deux fois!»
Et alors? Elle met 10 minutes pour se relever ou quoi?
Enseignement Professionnel:
Je viens de m'en souvenir, on devait finir une jupe mais ça fait, quoi trois semaine, que je n'en ai pas vu la couleur... Et c'est la prof qui nous criait dessus pour «Finir avant les vacances!!!».
On append le patronage: bizarrement j'ai l'impression que la prof parle à toute la classe, mais ne regarde et ne fixe que moi. C'est déroutant, Je fais quoi ? Je la regarde aussi? Je l'ignore ? Je pars dans mon monde parfait fait de douceur et de dentelles?
«Quel est la différence entre un patron et un patronage?
*Silence*
(P..Pourquoi elle me regarde encore?! Je..Je sais pas moi!
)
-Je vous écoute.
(Qui? Moi?! Mais j'ai rien dis!)
-Euuuh (Réfléchie...Cerveau en éruption! Aaaah ça fais longtemps ce dessin animé!Wa! C'est pas le moment de penser a ça!) Le patronage il y a...les valeurs?
-Très bien! Il y a au moins une qui suis!»
Après la leçon, la pratique, la prof nous distribue de grande feuille pour re re et re refaire un patron que l'ont a déjà fait. Je commence mon travail sans faire attention au parole de la prof, vingt minutes plus tard, je relève la tête et...Horreurs! J'ai fais n'importe quoi! Qu'elle idiote c'était pas du tous les consigne! Ça m'apprendra à foncer comme un bourrin!

«Il ne vous reste plus que 10 minutes! Après je ramasse, et je note!» (Non! Vite! Moi, Bouge toi les fesses!)
Je trace tous en quatrième vitesse, hop un trait là, là, parallèle, perpendiculaire, ici, ici et enfin ici! *Sonnerie*
Quel Timing! Je suis impressionnée par moi même. «Bon vous pourrez terminer demain»(Quoi?! Mais..Mais je me suis pressée pour rien alors?).
Cantine: Disneyfan veut manger avec moi, je la suit, on s'installe, au moment où j'allais porter à ma bouche mon poison pané adoré qui me faisait saliver, La fille qui mange tous le temps arrive avec un pépito à moitié mangé dans la main: «Pourquoi vous ne mangez pas avec nous? Va s'y venez! Et tous!» Disneyfan en râlant accepte, «Rooh c'est pas très grave, c'est que la cantine.».
Elle me tire par le bras, je suis oublier de jongler (d'une seul main) pour que mon plateau ne tombe pas, mais quelqu'un me donne un coup d'épaule, mon plateau tombe, et mon poison s'envoile, puis s'écrase sur la carrelage sale de la catine.
Mon poison, mon beau poison....
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De pas tres bonne humeur après avoir perdu mon poiscaille et que l'on me disent «Tu n'avais pas qu'a le faire tomber!» quand j'en ai réclamer un autre, je pars, en direction du gymnase.
Arrivée, j'entre dans le hall, une chaleur me couvre mes joue glacées de caresse. Le gardien qui visiblement s'ennuie, commence a me parler:
«-T'es au lycée?
-Oui
-Le lycée au bout de la rue là?
-Non, l'autre encore plus loin
-Et c'est general ou...
-Professionnel
-Ah! Et tu fais quoi?
-Couture
-Ah! Pour etre styliste?
-Non...
-Pour faire quoi alors?
-Tailleur d'ames.
-Tailleur d'ames?
-Tailleur d'ames.
-C'est quoi euuh...
-Tailleur d'ames, c'est les tailleurs pour femme, fait artisanalement.
-Ah! Ba tu sera une grande Tailleur d'ames!
-Merci.
-Ah, et pourquoi t'arrive toute seul, là. Tes pas avec tes amies?
-Non.
-Ba pourquoi?
-J'aime le calme.
-Tu aime le calme?! T'es bouddhiste?!
-Non...(Je vois pas le rapport)
-T'es avec les folles là?
-Oui c'est ça.
-Ya même une grosse avec vous (il parle de Disneyfan).
-Oh!
-Hahaha, lui dit pas surtout.
-Non non (Huhuhu);
-Hahaha je comprend, tu n'aime pas le bruit alors !
-Oui.
-Elles sont un peu bête mais elle sont sympa.
-(A bon)»
En parlent du loup...Un groupe de fille arrive, l'une essaye d'ouvrir la porte, elle tire dessus comme une brute (qu'elle est), et ne comprend pas que c'est le gardien qui enclenche l'ouverture de la porte, il fini par avoir pitié et ouvre, on entend juste une phrase «Hey ya pas de porte au mali ou quoi?». Puis mon petit coin calme fut très vite pollué par la présence de ces babouins sans cervelles.
Dans le gymnase, une fille du CAP voisin est assise toute seul, c'est l'une des rare que je ne deteste pas, comme un peu fatiguer, j'allonge ma tête sur ces genoux, très vite une fille de ma classe fait de même sur moi, puis une autre sur celle sur moi, et encore une autre sur les genou de celle qui a la tête sur les genoux de celle qui a la sienne sur mes genoux (Vous suivez?^^) ainsi de suite.
Ce cours interminable fini, je me dirige à toute allure vers le lycée.
Mais vite rattraper par La fille qui mange tous le temps (je vais plutôt l'appeler Pepito maintenant c'est plus court et fun) et la lesbophobe. Il y a du verglas par terre, et elles ne manquent pas de tomber. D'abord la lesbophobe, qui tente de s'agripper à mon bras mes par instinct de survie je recule en arrière, elle tombe. Je suis à deux doigts de rire a gorge d'éployée, suivie de Pepito (j'adore l'appeler comme ça!) qui en explosent de rire relâche sa garde et tombe en arrière.
«Bon ba moi, je passe devant!
-Attend!»
physique chimie:
J'ai oubliée mes affaires, la prof me soupçonne de l'avoir fais exprès (Je suis innocente!).
Dans une p'tite conversation avec ma voisine, j'utilise le mot "Novice" qu'elle ne connais apparemment pas, sur une feuille de classeur, je marque le mot en question, elle cesse de m'écouter et écrit en dessous "Nobite" Très intelligent... Je répond en écrivant "Nolife", elle répond "Nomade". On continue notre petit jeu de mot quand, je sursaute et réalise un peu tard que la prof gueule sur deux élèves derrière nous (La hyène et la Sorcière, parce qu'elle on toutes les deux un rire à deux balles), furieuse elle nous donne des feuilles et dit «Contrôle!».
Je n'ai toujours rien compris à toute (et peu des) leçons qu'elle nous a faite, alors je ne peu quasiment pas répondre aux questions.

Une fois rentrée chez moi, en voyant la neige dans le jardin (C'est pas le notre et ce n'est pas vraiment un jardin non plus. Nous habitons au rez-de-chaussez, alors on a disposition le jardin de l'immeuble, ce qui ne manque pas de ravir mon chat.) je ne résiste pas, j'enfile des gants trop grand, et fonce dans la neige. En roulant une boule je donne vie a un magnifique bonhomme de neige, deux p'tits fruits inconnues trouvé par terre, deux branches mortes pour les bras et enfin une brandille pour la bouche! Je retombe en enfance! (Je n'ose pas imaginer ce que les voisins auraient pensés si ils m'auraient vu ^^').
Ensuite direction la Bibliothèque! J'ai deux livres que j'ai tres envie de lire et d'avoir entre les mains: "La mort, j'adore!" tome2, alexie brocas, et "Ni eve ni adam" de amelie nothomb, après avoir adorer "la métaphysique des tubes", et "Stupeur et tremblement" il fallait bien que je devienne fan et de lire le maximum de ses œuvres!

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Il est beau, hein?
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Mon chat aussi est beau!
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Mercredi 8 décembre 2010 à 20:45

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Jigoku Shojo

8 Décembre
J'arrive au lycée, il n'y a personne devant la porte, je suis arrivée en retard ? . Par chance la porte de l'entrer est ouverte, (Le lycée insiste sur le faite qu'il ferme les portes des la sonnerie), dans le premier halle, la gardienne et le proviseur discutent, quand ils me voient arrivée, le proviseur me repousse avec son torse en disant:
«-Ce n'est pas encore ouvert! Comment êtes vous entrez ?
-(Ce n'est pas la peine de me pousser comme si j'étais un envahisseur!) Euh la porte était ouverte.»
Il me jeta dehors,il ne manquait plus que le coup de pied au fesse, et c'est lui qui parle de galanterie!
J'ai dû attendre sous la neige comme un chat abandonné dans une caisse de mandarine. Deux filles de ma classe arrivent, elles discutent de je ne sais quoi, je n'entend rien avec mes écouteurs.
La porte s'ouvre, je passe le plus vite possible, et cours presque jusqu'au cinquième étages, épuiser, j'entre dans la salle d'art plastic, la prof m'accueille.
La classe se remplie peu a peu, je n'y prête pas trop attention, plonger dans mon travail, je ne suis pas de bonne humeur.
Une fois ressortie de mon monde, je lève la tête, et regarde attentivement la classe: Sur les murs beaucoup de dessins d'élèves.
«Hey, Teste.
-Quoi?
-Hein?
-Écoute. Tu vois les trois dessins là, ceux avec le mannequin et pantalon bouffent.
-Ouais.
-Dit moi, l'erreur.
-Euuuh....
-Sur lui là il est trop..
-Nan l'erreur est sur les trois.
-J'sais pas...
-Euuh...
-La façon dont est positionner le mannequin il devrai avoir une manche du pantalon plus longue que l'autre.
-Aaaah!
-Oh!
-Ça c'est très bien, et la critique est très subtile.
-Merci Madame (Contente!)!
-Peu de gens l'auraient remarqués, même moi je ne l'ai pas vu.»
Quelque minutes après, un surveillant arrive essoufflé. Je palis quand il prononce mon nom.
Je le suit,:
«C'est l'infirmière qui te demande, tu sais ou c'est?
-Peut être...
-Hahaha, Mystérieuse!»
J'entre dans l'infirmerie, démarre une langue conversation, elle a tellement était longe que je ne me souvient pas de tous:
«Bonjour.
-Bonjour.
-Tu vas bien?
-Oui je vais b....
-Non tu ne vas pas bien. (Pfff on voit qu'elle là préparée.)
-J'ai parlé à ta maman,
-Ah
-Tu veux que je l'appelle?
-Elle est occuper.
-Oui c'est vrai elle travail, Tu sais elle m'a dit que tu est très malheureuse (Va te faire foutre), elle s'inquiète beaucoup pour toi, (elle s'appuie sur le bureau et me chuchote), Ton père tes frères, ton frère est très triste tu sais. Et ta mère a très peur pour toi. Tu le sais?
-Oui (La ferme la vache! Va t'occuper de tes problèmes de boulimie plutôt que de me collée comme du la m***de sous ma chaussure)
-Tu dors toujours avec tes écouteurs?
-Oui.
-Tu ne peux pas dormir avec de la musque tu sais.
-Si.
-Non
-Si (Huhuhu qu'es que je m'amuse!)
-Tu écoute quoi comme musique
-Tous
-Oui mais quand tu dors?
-De l'ambient.
-C'est quoi? Ça bouge ?Ça...
-Non
-Tu sais il y a des études sur le bruit, et on ne peu... He! Tu m'écoute
-Humm. (Je ne peux pas m'empêcher d'avoir un petit sourire en coin que je le sent la met hors d'elle.)
-Qu'est ce qui te fait rire? Tu trouve tous ça débile?
-Oui.
-Tu as des
amie?
-J'en ai pas.
-Tu n'aime pas les filles de ta classe?
-Non
-Pourquoi?
-Il suffit de les voire.
-Ça veut dire quoi ça? Tu n'arrive pas à aller vers elles?
-Non
-Alors quoi?
-Elles ne valent même pas la peine d'être regardées.
(Elle me regarde les yeux rond, et bégaie sous le choque)
-Co...mment...ment p..peu tu dire une chose pareille?!
(Je hausse les épaules toujours avec mon petit sourire digne d'un serviteur du malin.)
-Tu ne peux pas! Tu n'a aucun droit de dire ça! (Pfff je la fait tourner en bourrique.)Tu ne peu pas aimer personne! Tu n'as pas d'amie?
-Non
-Et c'est du collège?
-Je m'en fiche
-Quoi?
-C'était que des bouche trous.
*Encore plus sous le choque*
-Mais l'être humain a besoin de compagnie! L'homme est un animal de compagnie!
(Je lève les yeux au ciel, ça l'énerve encore plus et ça me donne encore plus envie de rire.)
-Je veux juste que l'ont me lâche.
-Mais tu je ne peu, tu va finir toute seul, enfin pas toute seul, mais couper du monde, enfin non de la société,
-Pfff (Oups, j'ai oublier de m'empêcher de rire.)
-* Soupir* J'espère que tu vas bien aller voir ton psychiatre (Hahaha, son esprit est si simplet! Elle veut m'apprendre je ne sais quoi, sur quelque chose que j'ai depuis longtemps balancer a la poubelle.) Bon tu peu y aller.
Je me lève, et dis avec un ton provocateur au moment de passer la porte «Au revoir!».
Huhuhu qu'est ce que je me suis amuser,ça ma remis de bonne humeurs tous ça!
Je retourne en classe, les autres me demande «Tu faisais quoi?» Je n'ai pas le temps d'inventer un mensonge la prof nous interrompt «Chuuut, Au travail!»
Anglais: Zut on a un contrôle tout a l'heure est je ne connais rien.
Français: Je n'écoute pas trop le cour, ça ne m'intéresse pas...
Cantine:
On est que 6 a manger aujourd'hui, alors toute la classe se regroupe sur une table. J'avale tous en 5 minutes et pars.
A mon endroit préférer, entre le quatrième et troisième étage, là ou il y a un radiateur, et la fenêtre avec la jolie vu. La neige tombe, J'aimerais pouvoir tous ensevelir, les gens, la ville, la vie, le future, le passe, le présent, tous ça sous la neige, cette poudre immaculée blanc pourrais purifier ce tas d'immondices.
J'aime la neige (Je l'ai déjà dis) Ça tombe du ciel comme un sablier mais ça semble arrêter le temps. Ça arrive chaque année mais c'est toujours aussi envoutent. C'est froid et blanc mais expressif. Semblable à la pluie mais tellement plus doux.
La neige? La pluie? Ça me fais penser à «Stupeur et Tremblement»:
D'ailleurs il y a un paragraphe que j'adore, je l'adore tellement que je l'ai appris par cœur:
««Si a 25 ans tu n'est pas mariée, tu auras de bonne raisons d'avoir honte», «Si tu ris, tu ne seras pas distinguée» «Si ton visage exprime un sentiment, tu es vulgaire», «Si tu mentionne l'existence d'un poil sur ton corps, tu es immonde», «Si un garçon t'embrasse sur la joue en public, tu es une putain», «Si tu mange avec plaisir tu es une truie», «Si tu éprouve du plaisir a dormir, tu es une vache» […] N'espère pas être amoureuse car tu n'en vaux pas la peine. N'espère pas que la vie t'apporte quoi que ce soit, car chaque année qui passera t'enlèvera quelque chose.»
Enseignement Professionnel:
Contrôle: j'ai un peu appris à la derniere minute mais, c'etait pas le bon texte ^^'
C'est très ennuyant, je m'ennuie à mourir...Je veux rentrer.
Je ne rien fais durant tous le cours (mise à par les exercices).
Sonnerie: On sort enfin....
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Artiste: Nana Kitade
Chanson: StukiHana
Aussi OP
Jigoku Shoujo Mitsuganae



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