10 Décembre
De chez moi, jusqu'au lycée, je n'ai pu sortir mon nez de mon livre, (La mort, j'adore tome2, Alexis brocas). Heureusement pour moi, plus aucune trace de neige ou de verglas au sol.
Devant les portes, il y a une fille du CAP voisin et Pepito, dès que je suis a leur porter l'une d'elle marche le livre des mains,
«-Tu lis quoi?
-Un livre.
-La mort? Et c'est pas bien!
-De quoi?
-T'ira en enfers!
-(Oh! Pauvre de moi!)»
Français: Ma voisine de table,Disneyfan, voulant attraper mon livre mais fait tomber ma trousse, je suis obliger de me plier en deux, ramasser chacun de mes pauvre stylo. Tout ça juste pour dire
«Tu lis quoi?
-(Parce que tu sais lire maintenant?)
-Waa! Tu va lire tous ça!? Moi j'aime pas lire! J'arrive pas a imaginer, ch'ais pas comment tu fais. Pour moi, ça me tuerai de lire tous ça!»
Moi par là, moi par ci, c'est bon tu as suffisamment pris toute la place sur la table pour que je remarque que tu existe!
Enseignement Professionnel: Toujours mon livre a la main, ma prof intriguée zieute indiscrètement mon livre:
«Vous lisez toujours des trucs trash!
-A bon, (C'est le premiers livre que je ramène depuis le début de l'année et elle dit "toujours" ?)
-Qu'est-ce qui vous plait dans la mort ?
-(C'est quoi cette question?) Il ne faut pas se fier à la couverture d'un livre»
Elle n'a rien répondu, ou alors elle ne m'a pas entendu.
La prof nous distribue, nos feuilles d'hier, quand je vois mon travail bâclé, j'ai honte de moi.
Apparemment, la figure n'était pas finie, alors on continue les tracés. Ce qui ne m'enchante pas vraiment, c'est ennuyeux et les autres filles n'arrêtent pas de me demande, «Et je fais quoi après?» et La fille que tous le monde déteste, n'arrête pas de me couper la parole pour répondre a ma place. Dans un sens ça m'arrange parce que petit a petit,les autres commence a allez a la voir, mais dans l'autre, j'ai horreur que l'on me coupe la parole!
*Sonnerie* «Après la cantine, on finira les jupes! Vous aurez trois heurs pas une minutes de plus!»
Cantine: Il y a des spaghetti avec des bouts de jambons, et une sauce blanchâtre non identifier. J'avale sans réfléchir, j'ai juste faim. Ce que je le regretta rapidement, juste après avoir avalée le dernier p'tit bout de jambon, je me senti lourde et un mauvais goût dans la bouche (Berk). Il faudrait que je pense à faire attention à ce que je mange dorénavant.
Quand je me dirige, vers mon endroit favoris (Le radiateur), la place est déjà prise par des gens, j'essaie a l'étage au dessus, pris aussi. Tan pis je m'installe, sur la dernier marche du dernier étage et mon plonge dans mon livre.
L'homme qui habituellement s'occupe du CDI passe a côté de moi,
«Bonjours.
-Bonjours.
*Il s'arrête*
-humm?
-Vous voulez aller au CDI ?
-Euh m'oui (Pourquoi pas)»
Je m'assis tous au fond de la salle. Je suis totalement plonger dans mon histoire.
«-Mademoiselle!!
-Oui?
-Ça a sonné!
-Ah! Merci.»
Le nez entre les pages, je descends les marches pas très motiver, à la porte de ma salle, fermer, je me demande si elles sont déjà rentrées. Je me dis «Je fini juste mon paragraphe et je rentre.»
Une main ce pause sur mon épaule, je sursaute:
-Oh! Je voulais pas te faire peur, qu'est-ce que tu attend?
-Ri...Rien!
-Allez rentre en cours!»
Je hoche la tête en signe de réponse.
Il ouvre la porte, comme si n'avais pas la force physique ou mental de la pousser moi même. Ce surveillant à quelque chose de très doux, je l'aime bien, à chaque fois qu'il me voit, il me souris, et a un regard qui semble me dire, «Aller courage!».
Enseignement Professionnel:
Quand j'entre dans la salle, toutes les élèves sont déjà là, je m'assoie à ma place, personne ne me questionne ou ne fait attention a moi. Agréable surprise. Sur ma jupe je n'ai plus que le ourlet à faire, je fini en 10 minute, a mon grand regret. Je n'ai plus rien à faire maintenant...
Je profite que la prof est concentrée sur un travail, pour me replonger dans mon bouquin.
Une demi-heure avant la fin du cours, la prof nous annonce «Bon tous le monde range! Dès que ça sonne tous le monde dehors!». Je ne prend même pas la peine de ranger quoi que ce soit, le monde s'affaire autours de moi, j'aime n'être qu'une spectatrice.
«Hey!
-....
-Hey!
-Hein?
-T'as déjà eu un copain?
*Je secoue la tête*
-Un amoureux?
*Je re secoue la tête*
-T'aime les filles?»
J'ai eu un moment d'hésitation et je lui fais non de la tête.
Je déteste que l'on me pause ce genre de questions, c'est indiscret, et ça ne regarde que moi.
«Espèce de sale intelo'!
-Qui moi?
-Oui twa!
-Oh! Merci!
-Pourquoi tu dis ça?
-Parce que tu viens d'avoué que je suis plus intelligente que toi.»
Math:
La prof nous distribue, des cahiers, «Page 93, exercice 13!». Oh! Qu'elle plaisir, construction d'une figure géométrique, j'ai toujours adorée ces exercices, on ne sait jamais ce que ça va donner à la fin. Et c'est toujours magnifiquement Logique!
Re Français:
Pendant que les autres lisent, le livre imposé par la prof, moi je lis le mien. Elle le vois très bien, mais ne dis rien, sans doute trop occuper par mes camarades.
Dans le metro: Je marche en lisant, (ce qui est déconseillée, mais je connais le chemin par cœur alors...), un homme me pousse, ça m'énerve jusqu'au moment ou je vois qu'il accompagne un mal voyant, et le guide. Je ne sais pas comment réagir, peut-être m'a t-il dit «pardon» à plusieurs reprise mais moi avec mes écouteurs, on peut toujours me crier dessus je n'entendrais jamais rien, mais en même temps, on ne pousse pas une jeune fille!
En rentrent chez moi, je croise La fille de l'immeuble, elle est si jolie, j'adore quand elle me souris. Rien de plus réconfortent, après avoir du essuyé de mes joues toutes traces du monde que je côtoie. Et la façon, dont elle me dis bonsoir, c'est si..si...charment. Sortant de sa bouche les mots les plus banals on l'air si exceptionnel.
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ED, Panty & Stocking with Garterbelt.
