School-Day

Thérapie clavier

Soixante Cinquieme article

Jeudi 13 janvier 2011 à 19:06

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Natsuko Illustration

13 Janvier

J'entre dans le metro, il y a un monde fou, tous entassé à attendre ne sais quoi, «La ligne 1 est fermée» dit une voix dans un mégaphone, heureusement que je suis partie tôt de chez moi c. Je prends la ligne voisine qui est aussi bondé que Tati les jours de Solde.
Dans le wagon de suis emportée vers le fond, où je suis bizarrement, pas du tous écraser. Pendant les Parisiens près des portes sont aplaties.
Je profite de cette exceptionnel situation confortable et enviable, pour fermer les yeux, rêver à monde parfait fait de douceur et de dentelle, un monde magnifique...
«Ah! C'est ma station!», je manque de me faire manger par les portes.
Changement de ligne. A mes côtés, un petit garçon révise l'orthographe avec sa mère,et dire qu'à son âge, je déprimais parce que je ne parvenais pas à supporter la façon que, je trouvais barbare, de tous nous mettre en compétition les uns contres les autres. Ça me fessait horriblement peur, mais trop petite et trop timide pour expliquer quoi que ce soit, on disait simplement de moi, que j'avais besoin de plus de soutien. Résultat ma maîtresse, m'interrogeait plus souvent, mais ignorant sincèrement la réponse, les élèves se moquait de moi et la prof s'obstinait à m'interroger une dizaine de fois par jour. Pas étonnant que je disais si souvent à ma mère «Je suis maladeuuuh...»

Enseignement Professionnel:
Je croie bien que je suis la seul à aimer les points à la main, entre Disneyfan qui ne coud toujours pas droit puis geint: «Mais!! C'est à cause de mes yeux!!», la pauvre elle est le clichée total de la gauchère, maladroite, lourde, et incapable de contrôler son auriculaire et La lesbophobe qui ne différencie pas d'un fils rouge et un fil noir.
Aujourd'hui, contrairement à la semaine dernière, la prof me parle avec respect et douceur, cette femme est vraiment étrange, a croire qu'elle me confond une fois sur deux avec quelqu'un d'autre.
Disney fan me tire par la capuche,
«Dis!! Dis!! Tu sais qu'il y a bientôt mon spetacle? Tu viendras hein? Hein?
-Mais c'est dans trois mois.
-Attend je t'écris l'adresse!
-Tu devrais travailler au lieu de perdre ton temps!
-Tien!»
Finalement j'ai perdu son papier, je vous jure que j'ai pas fait exprès!
Cantine:
Je déguste une délicieuse tarte saupoudrée de crème, un délice, la cuillère dans la bouche je ne peux qu'imaginer être dans le wonderland lolita.
La Lesbophobe assise à côté de moi, me sort de mon délire sucrée:
«Hey! Tu crois qu'il y à des lesbiennes dans le lycée? (Ce genre de choses semble vraiment l'intriguer)
-Ba évidemment.
-Haa..
-Tu sais tu devrais laisser les gens aimer qui bon leur semble.
-Oui, oui je sais c'est pas ça! Mais j'aimerais bien être amie avec une lesbienne.(Cette remarque m'amuse un peu)
-Ba je croyais que tu avais une amie qu..
-Ah non! Pas elle! En faite c'est trop une salope!
-Je vois.»
Une fois fini, je vais au gymnase, en chemin je passe devant un arrêt de bus qui peut m'emmener en pres de chez moi, comme par hasard le bus arrive pile devant mon nez, j'ai envie de plaquée le cour de sport et rentrer chez moi. Mais je me résigne et entre dans le halle du gymnase.

EPS: Étrange, je pensais que c'est parce que je lissais que mes deux profs de sport me laissaient tranquille mais en faite, même assise à ne rien faire ils ne baissent jamais les yeux vers moi...
C'est pratique mais relativement vexant...
Chimie:
Contrôle, je ne connais rien, je coche des cases au pif (Ça me fait penser à "Baka to test to shoukanjuu"). Le contrôle finie, la prof se lance dans une grande explicitation de "Pourquoi les jeunes n'ont pas de travail?".
Moi et La Lesbophobe, on parle dans notre coin du dernier épisode de "Arakawa under the bridge x bridge". La prof nous voit, ou bien nous entend, c'est alors que sans doute pour plaisanter elle prend sa trousse dans la main et nous menace de nous la lancer.
Un éclaire glacer transperce mes veines, cette main dresser vers moi, ce signe de violence, me donne un flash back. L'époque ou mon père nous frappait mes frères et moi. Comment oublier son expression, les heures durant lesquelles la tête entre les genoux dans la pénombre de ma chambre, de toutes mes forces je haïssais la douleurs de ces coups, la jalousie que j'éprouvais quand les pères de mes camarades venaient chercher leurs bouts de chou à l'école, je l'ai trouvée beau, je l'ai trouvée en forme, jeune, joyeux, et je me détestais.
L'air de rien je dis à la prof «Voyons madame c'est illégale!» Ça à fais rire la classe, j'ai le coeur serré.

Sur le chemin du retour, je marche le plus lentement possible, je me sent mélancolique, Il ne fait pas chaud, il ne fait pas froid. Le ciel est gris mais il ne pleut pas. La brise sur mes joue, fait danser mes boucles. Un temps spécifique de Paris il me semble.

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Soixante Quatrieme article

Vendredi 7 janvier 2011 à 21:12

http://school-day.cowblog.fr/images/2/angeliquepretty18537206ac.jpgKira imai
7 Janvier
Durant la journée entière je n'ai fait que plonger ma tête dans mon petit livre, si bien qu'il ne me reste plus qu'une trentaine de pages à lire (sachant que j'ai commencée le matin même). Lire est un bon moyen de ce boucher les oreilles, mes camarades toujours aussi...aussi...elles même, ne s'intéressent jamais à mes lectures, donc me laisse dans mon monde.
Français: Nous sommes très peu d'élèves, mais le cours n'en ai pas moins bruyant.
Enseignement Professionnel:
On apprend les «Poches plaquées», c'est très simple, c'est juste un carré, avec des une doublure après tout ce qu'on a fait, ce truc me paraît bien simple. La prof insiste sur «Il faut bien maitriser!» alors on refait plusieurs fois la même poche avec des tissus différents.
Pause:Je m'installe sur les escaliers en face de la salle le livre sur les genoux, deux élèves s'assoie en amont puis deux autres, puis trois, puis quatre et très vite toutes la classe débarque.
Je suis cernée je ne peux plus bouger, je me dois de supporter les coups de coude, les cris à quelques centimètres de mes tympans, et les «Va s'y arrête de lire, là!».

La sorcière sort son appareil photo, elles se prennent toutes en photo les unes après les autres, elles sont d'un narcissisme inconfortable, (Exactement comme, la presque héroïne du livre que je lis).
La hyène, me donne un coup sur la tête avec l'appareil numérique et me gueule dessus comme à un chien «Photo de famille!!» Où je ne clairement pas désirer par la propriétaire de l'appareil et son imbécile de copine qui vient de me frapper, (A mon deuxième entonnement il vient juste d'avoir une situation similaire dans mon livre, ça devient comique ^^).
Je prends un premier clicher, elles sont toutes à faire une pause ridicule, à tirer la langue, où a tendre les bras en l'aire, l'air de dire «Regardez moi je suis conne!», je tends l'appareil mais la hyène me crie «Une autre là!!» je soupire, j'en prends une seconde, ou elles reprennent toutes la même pause, je retends l'appareil et re soupir, un surveillant arrive, c'est le gentil surveillant, qui est le seul adulte à avoir remarqué ma détresse spirituel dans cette école «Vous faites trop de bruits! Il y a des cours à côté!», la plupart des filles ne prennent même pas la peine de le regarder, il m'offre un sourire désolé, son regard me dit «Je suis navré que nos pauvres personne soit témoin d'une telle insulte à l'Humanité, courage un jour les gens qui le mérite serons sauvés».
Ça sonne, mais la prof n'arrive pas, on l'attend pendant 15 minutes (d'après Disneyfan) je suis restée à dix mètres d'elles.
Elles sont laides, toutes égoïstes, violentes , égocentriques, narcissiques et vulgaires. Arriverais-je à construire mon monde parfait fait de douceur et de dentelles, sachant que de telles monstre existe? Que je les ai côtoyée, qu'elles mon touché, qu'elle on entachées mon rêve rose.
La prof arrive enfin, on ce remet au travail, derrière moi, est installées Disneyfan et une fille qui m'aime bien (Je ne sais pas trop comment la surnommer..). J'entends Disneyfan répéter des limiers de fois «Hey je fais quoi ici?» «Et là?» «Mais aide moiiii!!!!», finalement sa voisine craque, et lui sort «Mais tu vois pas que je travaille là?! Tu fais chier à la fin!!» Oh! Exactement les mots que j'aurais aimés lui dire! Vexée Disneyfan change de place, je me retourne et lance un sourire complice à celle qui à exprimée ce que je ne pouvais dire.

Cantine: j'avale, à gros morceau mon déjeuner, et m'en vais.
Il ne fait pas froid aujourd'hui ou alors je suis habillée chaudement, je décide de m'installer sur le banc blanc, dans la cour, la cour est petite, et recouvert d'un toit en plastic opaque. Ici aussi les gens n'y fond qui passer, oui je suis toute seul, oui je peux dire que je n'ai plus d'amis, mais enfin maintenant je m'en fiche. L'époque ou la solitude me poursuivait et terminer aujourd'hui je l'enlace sans aucun complexe.
La sorcière et la hyène passe devant moi, l'une d'elle donne un coup dans mon livre je manque de le faire tomber «T'as fini de lire toi?!» l'autre rit, elles me font pitié, qu'elles mangent mes chaussettes, là sont leurs places!

Sonnerie.
Re enseignement professionnel:
Je suis tranquillement installée, les pieds sur une chaise à coudre, la prof arrive est me gronde «Hey! Enlevez vos pieds! » Je m'exécute, mais visiblement ça ne suffit pas, la prof m'arrache mon travail des mains, essuie la chaise avec, puis le jette par terre comme un chiffons. Cet acte ma déchiré le coeur. Moi, à moi, moi qui fait tous pour être toujours la plus mignonne, qui parle toujours poliment, n'a jamais eu une once d'agressivité, qui n'a jamais broncher pour quoi que ce soit, qui a toujours fait ce qu'on lui demande, je me fais ainsi piétiner le visage.J'ai l'impression, qu'elle vient de me graver dans la peau avec un couteau de boucher «Tu ne vos rien!!».

Math: La prof nous annonce qu'elle a un nouveau plan d'apprentissage, "faire des groupes". Chaque groupe doit se retrouver avec une bonne élèves et deux moins bon, par chance je suis avec deux filles qui m'aiment bien, et que j'aime bien aussi.
Le cours commence, ça me plait de jouer les profs pendant une heure, elles ne boivent pas vraiment mes paroles, mais tend qu'elles m'écoutent.
Français: Nouveau thème en français, les nouvelles, ça! Ça tombe bien!J'ai un p'tit rêve dans un coin de ma tête, écrire un recueille de nouvelle, je suis encore trop jeune pour être publiée, mais si j'apprends des soluces intéressantes en cours, c'est pas de refus!

Sur le chemin de retour, je marche en lissant, un homme me dit «Lire en lissant c'est dangereux! Le livre doit vraiment être intéressant!» le lui sourie avec joie, il n'a pas été impolie, d'habitude je trouve ce genre de commentaire indiscret et même inutile, mais cet homme à était charmant, et ma mise de bonne humeur!

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Soixante Troisième article

Jeudi 6 janvier 2011 à 19:18

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Candy Boy, Touge Hiro

6 Janvier

Enseignement Professionnel:
Penchée sur mon travail, je sentie tout à coup, un mauvais vertige.
Mes mains tremblaient, ma vue se floutait, je craignais de tomber dans les vapes.
Disneyfan était assise a côté de moi,
«Je croie que je tourne de l'oeil...
-Ba fallait manger ce matin!»
Que! C'est tout ce qu'elle trouve à dire ?! Je fais de l'hypoglycémie et elle me sort cette phrase inutile, débile, stupide, sans aucun sens!! La moindre des choses serait qu'elle bouge ses grosses fesses!!
Le tournis me fait perdre mon sans froid, je peine à répondre à mon idiote de voisine de table sans un ton qui dit «Tu me soule!!».
Bien reprend tes esprits moi, dans vingts minutes ça sonne.
Pause: Je me précipite à la cantine, je demande à la gentil dame de cantine qui me sourie à chaque fois qu'elle me voie:
«Je pourrais avoir un morceau de pain?».
Ça me fais un bien fou, je peux enfin marcher sans me tenir au mur.
Re Enseignement Professionnel:
Lors d'une de mes pauses, je vois Disneyfan qui regarde le portable d'une élève qui avait séchée trois mois de cours.(Alors on va l'appelait La sécheuse, (Faut bien lui trouver un nom)) Disneyfan ce dirigea ensuite vers la prof, dit «Je croit savoir qui a volé mon portable»
Cette histoire de portable volé remonte a presque trois mois, et sera visiblement remis sur le tapis.
La prof visiblement très engagée sur le sujet, déclaras a toute la classe:
«Bien! J'ai une information à vous communiquer! Monsieur le proviseur a, pour un enquête, réclamer a voir tous les portables, alors chacune d'entre vous va mettre son portable dans une pochette et me la donner»
Elle ment bien cette prof...
«Et vous?
-Moi?
-Oui! Faite ce que j'ai dit!
-Mais je n'ai pas de portable.
-Vraiment?
-Comment faites vous si on doit vous joindre?
-On ne me joint pas.
-Vous êtes coupée du monde alors!
-(Si seulement)»
Sonnerie, je laisse régler ses problèmes qui m'importe peu aux autres, préfère aller manger.
Cantine: J'avais tellement faim, j'ai tous engloutit.
Sport: J'arrive au Gymnase, il y a déjà un petit groupe de fille, dommage, je m'installe le plus loin, mais je les entend glousser, et hurler, comme un croisement entre des poules et des babouins.
Une fois au complet les cours peuvent commencer, j'ai très envie de finir mon livre pour aujourd'hui alors je m'assie dans un coin et bouquine.
Bonne surprise, je suis complètement ignorée de tout le monde, j'en suis ravie.
Physique Chimie: La prof est absente, ça tombe bien je voulait aller à la bibliothèque. C'est sur le chemin que je finis la dernière page, ça me fait toujours tous drôle de finir un livre.
J'ai (encore) empruntée une oeuvre de Amelie Nothomb «AntéChrista ». J'aime tellement ces histoires! Ces personnages me paresse fous mais si réel!

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Soixante Deuxième article

Jeudi 6 janvier 2011 à 19:16

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Candy Boy, Touge Hiro
5 Janvier

Je sors de chez moi, et marche d'un bon train, presque de bonne humeur.
J'aide une jeune touriste a portée sa valise dans les escaliers, sans qu'elle me le demande. Pour une fois je ne me suis pas torturée le crane avec des «Et si elle ne parle pas français?» «Et si je fessais tomber la valise dans les escaliers?» Et si... et si...
Après l'avoir aidée, elle ma dit «Merci!» avec un grand sourire, ça ma réchauffée le coeur.
J'arrive au lycée, je soupire quand je me rappelle que j'ai art plastic.
Déjà montée, 6 étages c'est pas de la tarte, mais si c'est en pensant à ces deux heures de Je recopie des flèches... Mon énergie de ce matin est partie au loin.

Art plastic:
Épuiser, avis de tous laisser tomber.
Me couper de la réalité, vivre a tous jamais dans mon monde parfait fait de douceur et de dentelle.
«Tu es dans la lune?» Sur la lune ? J'aimerais bien.

Anglais:
Le prof essaye sans succès de me faire parler, non pas que je n'ai pas envie de travailler (Enfin si un peu) mais je ne parviens à parler en anglais, simuler l'accent, autan en japonais je suis paraît-il très douer.
Français:
La prof essaye elle aussi de me faire travailler, mais je suis déterminer a ne pas écrire cette mini pièce de théâtre.
La sonnerie retentit ça tombe bien j'ai une faim de loup
Durant le déjeuner ma voisine ne cessa de me fusiller de questions, pourquoi ne se rend t elle pas compte qu'elle n'est pas indispensable? Les gens comme elle sont tellement tournés sur leurs nombrils que le monde à beau exploser, temps que leurs sale grosses fesses sont épargnées tout va bien.
Sur ces pensées j'avale mon dernier morceau d'omelette et partis loin le plus loin possible de ces filles.

Enseignement professionnel:
Je m'assoie au premier rang et attend, les bras sous la table je fixe la prof, qui a l'air de voir à travers moi. Elle crie pour ce faire obéir des élèves, mais rien n'y fait.
Entre celle qui se prenne en photo, celle qui se menace et d'autre qui n'ont pas encore sortie leurs affaires. Ma pauvre professeur ne sait où donner de la tête, elle peine à faire écrire trois mots à mes camarade:
«-Alors ici, il faut marquer "Facilement"!
-Ouech, madame, ça s'écrit comment?
-Aaaaah! Madame elle m'embête!
-Mito! Madame elle joue avec son portable!
-La ferme! J'te vais te gifler toi!
-Silence, écouter la leçon! Il va avoir un contrôle!
-Quoi?! Va s'y po de contrôle!»
Soupir, je n'ai pas d'autre choix que de m'enfermer dans mon monde parfait fait de den...
«Hey! Meuf, ça s'écrit comment "Facilement"?»
Où j'en étais?
Pause:
J'attrape mon livre pendant que Disneyfan me tire par la manche
«Vient euuuuuh!
-Attend! Tu peux me tenir ça?»
Je lui tends mon livre, elle le four dans son sac et m'entraîne de plus belle jusqu'à la machine à café, insère des pièces et attend. Après dix minutes, elle comprend enfin «P'tain! Elle m'a bouffer mes pièces!!»
La situation est telle, que j'ai du mal à contenir mon rire.
«-Va s'y on va en face!
-En face?»
Tous en me tirant la manche, on sort du lycée pour entrées dans ce que je croyais être un gymnase, ce qui paraît plutôt être un centre d'activités pour jeune.
Disneyfan semble connaitre les lieux, et se poste devant une machine à café, insère une nouvelle fois des pièces:
«Tu veux quelque chose?
-Non non.»
Elle ne croit pas qu'elle a suffisamment dépensée? Pauvre victime du capitalisme moderne...
«On va s'assoir?»
C'est maintenant qu'elle me demande mon avis? On monte les escaliers, disneyfan s'écroule sur un fauteuil comme une baleine échouée sur un rivage. Je m'installe à ses côtè. J'aurais aimée rester dans le calme (quitte a qu'elle soit mal à l'aise) mais c'est trop espérer:
Disneyfan a décidé de jaser:
«Toi c'est qui que tu trouves la plus immature?
-euh je...
-Moi c'est trop machine! Tu l'as vu en français? "Je veux pas travailler" et tous "mes éducatrices vont le faire elle l'ai prends pour ses esclave ou quoi? Franchement j'l'aime pas! Elle est majeur et même toi t'es plus mature! ("Même toi"? Je suis tellement de fois plus évoluer que toi que tu ne pourrais même pas lire le nombre!) Et ouais en faite t'a quelle age? Quoi?! T'es née en 94? On dirait pas! T'as pas une tête à avoir 17 ans. C'est parce que tu t'habilles en mode Baby Doll! (J'la suis pas trop...) Moi j'aime tous les profs! (Patati patata) Hey c'est quoi ta résolution de l'année? Moi c'est de maigrir et de trouver un p'tit copain!»
Elle a finalement fini avec «Oh! Ca va sonner!» et on est enfin parties.
Quand elle m'a rendu mon livre, il y avait deux taches de café sur la tranche. Soupir, j'aimerais tellement vivre dans mon monde parfait fait de douceur et de dentelle où personne ne tacheraient les affaires des autres (Surtout s'ils appartiennent à la bibliothèque)
Re Enseignement Professionnel:
On refait des tracés, d'une méthode différente moins précise mais plus rapide.
Je ne sais pas si c'est une bonne nouvelle mais on va commencer une veste, c'est bien mais ça demande beaucoup de travaille.
Sur le chemin du retour je n'étais pas trop en forme. Dans le métro je m'assise et ferma les yeux.
Je rêve d'un endroit beau et parfumé, ou tous respirai le bonheur.
Où je boirai du Earl Gray vêtu d'une Dress Victorian maiden.

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Soixante et Unieme article

Mardi 4 janvier 2011 à 19:43


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4 Janvier

Mon jour de rentrée. Sans doute causer par le stresse, je ne dormis que très peu, a 4H du matin j'étais déjà levé. Qui plus est que par inattention je partis de chez moi une demi heure trop tôt, et bien sur je ne m'en suis aperçu qu'une fois devant mon lycée.
Je m'assoie sur le rebord du canal en face de l'établissement, et ouvre mon livre. «Ni d'Eve ni d'Adam» De Amelie Nothomb, j'aime beaucoup cette auteur.
Une fille de ma classe me sort de mon silence,
«Oh! Une revenante!»
Je lui souris poliment en signe de réponse.
Je sens que ma solitude adore avec qui je viens de passer deux semaines merveilleuse va être balayée par un affreux brouhaha. Sur ces pensées, presque toute ma classe arrivent en parlent fort, elles se sont retrouvées avant de venir ou c'est un hasard ?L'une d'elle me colle un magasine sur la figure en criant «J'y croie paaaas!», apparemment Justine biber à couché avec machin Gomez, en un éclaire toute mon espoir de commencer l'année de bon train c'est écrouler. S'intéresser à ce genre de choses est d'un sous évoluer que j'en reste bouche bée.
La cloche sonne, le troupeau, et moi dedans, entre dans le lycée.

Enseignement professionnel:
Durant toute la première heure, mes camarades non rien fais d'autre que crier «Booonne année!», pourquoi les gens sont ils si attachaient à ce genre de phrases, c'est un signe de politesse mais sortie de leurs bouches tous devient primitif.
Comment j'ai pu supporter tous cela jusqu'ici, je ne m'en souviens plus. Je me demande si je supporterais les sept mois qu'il reste.
Par trois fois la prof me dit «Pose se livre!».
Ou plutôt cinq, puisque les vacances prochaine plus les stages ça fais déjà un mois, et aussi le stage d'un mois en juin.
La prof me crie dessus pour me sortir de mes penser, je me remets au travail.
Pause: Je me dirige prés du radiateur au deuxième étage. Soupir, je l'avais oublier cet endroit.
Cet endroit où même si des gens passent ils ne me regardent pas, où même si la vue par la fenêtre est ennuyeuse je ne peux résister a mis plonger.
Re Enseignement professionnel:
La fatigue s'abat sur moi, je fais tout au ralentit, ou A mon rythme comme le dis trop poliment la prof.
Une jeune fille entre dans la salle, la prof nous explique qu'elle vient pour voir ce nous apprenons, elle s'installe non loin de moi.
La classe est plus bruyante et vulgaire que jamais est pourtant cette stagiaire a l'air de trouver ça drôle, et est presque a laisse, ce que même moi après tous ce temps ne cesse de me surprendre.
Cantine:
Comme d'habitude notre classe mange toutes ensembles, la stagiaire se place a côté de moi, plusieurs fois elle me lance des perches pour engager la conversation, à mon intérêt c'est toujours Disneyfan qui intervient, je suis bien arrêtée sur l'idée d'avaler un maximum de bouffe m'étirer et me tirer.
Aussitôt dis aussitôt fais, je m'enfuis dans mon entre de silence, le CDI.
Je m'installe au fond de la pièce et suis retourné dans mon livre. Je me souviens qui a assez longtemps, la documentaliste ma proposée je ne sais plus trop quoi sur une station de radio qu'elle anime. Et bien aujourd'hui je suis intéressée, mais le problème c'est que je n'ose plus l'abordé, surtout après tous son temps, tant pis je réessaye demain.

Il y a cette fille qui entre dans la pièce, elle a l'air différente, elle l'est de toute évidence, parmi toute ces filles qui mettent des talons et parle de la dernière fois ou elle sont aller en boite, elle a l'air d'une collégienne. Avec sa petite taille, ces habits trop grand, ses cheveux court et sont visage si juvénile que je pourrais la confondre avec un garçon.

PSE:
La prof nous dit que l'on a dix minutes pour réviser, mais même si je ne connais pas la leçon je préfère bouquiner. «Pose se livre !» me dis trois fois de suite la prof.
Le contrôle n'a rien de bien méchant, principalement de la logique, enfin je pense qu'une mauvaise note m'attend tous de même, parce que j'ai bâclée les réponses.
Math: Je n'ai pas mes affaires, la prof ne remarque rien.
Ma voisine s'amuse à faire des cocottes en papier avec les leçons.
Par trois fois la prof me dit «Pose se livre!»
Français: On a une rédaction , ce que j'adore faire, mais pas cette fois. Je déteste le sujet et la typographie imposer.
Théâtral, avec obligation d'utiliser un vocabulaire primaire.
Je déteste n'écrire que du texte, je trouve ça vide venant de moi.Je gribouille sur la feuille de brouillon que la prof nous a distribuée, au grand entonnement de la prof de me voir patauger dans le vide «Allons! Pourquoi vous ne travaillez pas?
-Je ne suis pas motiver par ce sujet.
-Mais vous n'avez pas le choix! Me répondit-elle vexée. La prochaine fois vous avez intérêt a travailler!»
A mon tour je suis vexée, on ne peut écrire si c'est sous la contrainte! La littérature doit venir du coeur!
Anglais:
La dernière heure, je fixe sans répit l'horloge de la salle.
La reprise des cours me fatigue mais, ça m'avais manquée de m'asseoir à mon ordinateur le soir pour remonter le temps et tous vous raconter.

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Artiste: Made In Heights
Titre: All The Places
Album: Winter Pigeons (Songs To Raise Your Dead Spirits)


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