magicien : Ecrire demande de la réfléxion.. que pensez-vous de ce texte : Le magicien se tenait au centre de la scène, enveloppé de mystère. Ses gestes gracieux ensorcelaient le public, tandis que des éclairs de lumière dansaient autour de lui.
Fake Yeezy 500 Taupe Light : There were already many people in front. The first person even arrived at 5 o'clock yesterday afternoon and set up a tent to spend the night here.
tempat print online : Very good writing, I am happy to be able to visit this website.
Best Fake Yeezys : Taking on the SC Premiere and Campus sneakers, Pharrell and adidas have continued the understated aesthetic that runs through so much of the Spring/Summer 2020 pack
Best Yeezy Replica : Starting at the top of the shoe is a contrasting “PUMA” logo, placed atop a dotted hexagonal motif at the tongue, a nod to PUMA’s honeycomb-shaped cushioning technology.
Fake Ultra Boost Uncaged : Debuting last month in a subdued all-black offering, Paul George's latest Nike model, the PG 2.5, is set to drop in a much brighter colorway early next month.
Air Jordan Retro : Today, in association with his friends at Champs Sports, Khaled hosted a 'Game on Air' event in Atlanta in celebration of Air Max Day. There, we caught up with him to get a little insight into what he's working on with Jordan Brand
Yeezy Boost 350 Replica : Narriman said Puma had held back from launching many versions of "NRGY" due to the case but would now promote the rival to "Boost" more aggressively.
0.49317527 : That mind that our souls sizes sales sales banana love very in our imagine sizes helpful palo from sizes me
0.953534532 : Ive been to visually catch the last time and i went in good condition after lots of a flea market lol tip if i used my taste because i still wear my outfits and asked
aterreur : En espérant que tout se passe bien dans ta vie que je ne connais que via ce blog.. courage !
uineniel : Y en a qu'on jamais connu l'amour et d'autres que leur amour agace. Le monde est mal foutu.
Luxury iPhone 6 Cases : Having reached new sales records, the device—and its bigger brother, the iPhone 6 Plus—is something that today's customers are finding to be a solid choice for both consumer and enterprise use.
aterreur : On a le même age, ton style est unique, il prend au trip et j'aime beaucoup te lire, l'impression de pas être le seul à essayer de me dépatouiller dans la vie... PRofite bien et à bientôt !
lancien : Plus d'article. Que deviens tu? Bonne année
J'ai un petit coup de blues. Je ne sais pas à quoi c'est dû. Peut-être parce que déjà un mois à filé et que déjà à l'horizon je vois que ma vie d'écolière reprendras son cours, avec ces hauts, ces bas, ces désagréments et ces joies, ou peut-être est-ce dû au départ matinal de ma soeur. Elle est partie pour trois semaines en colonie. Sans moi.
Je me sens comme un chien de garde pour elle et savoir que je ne pourrais pas être la pour morde les autres qui dévisage son handicape m'angoisse. Et si jamais les moniteurs se sentent débordé ? Il est vrai qu'elle sait se montré capricieuse. Et si cette coloest remplie de petits cons ? Et si elle ne se trouve pas d'amis ? Et si les gens se sentent mal à l'aise avec elle préférent la laisser seul ?
Ma soeur a un besoin vital de contact humain, elle veut jouer, rire, quitte à paraitre familiere avec le premier venu. J'ai peur pour elle.
J'aurais voulu partir à ces côtés, mais ma mère connait bien mes réactions, elle ne veut surement pas que je l'enferme avec moi dans une peur et une méfiance obsessionnelle des autres.
22 Juillet Le temps passe et les jours se suivent. J'aime cette sérénité qui s'installe dans mon cerveau. Il n'y a plus de problèmes qui s'y impose mise à part des choses comme "Combien de fois serrais-je capable de reprendre de la lazagne?"
16 juillet Le dessin par contre je n'ai pas arrêté. Tant mieux, passer ne serait-ce qu'un jour sans gribouiller un p'tit truc équivaut à de la régression dans la maîtrise.
C'est Francois Amorettit, dessinateur, qui m'a dit ces mots un jour où je l'ai rencontré en dédicace.
Si j'avais su qu'un jour je dessinerais des petits poneysobsessionnellement ...
En parlent de petit poney, voilà mon dernier projet, je vais bien sûr le mettre en couleur et rajouter des bijoux ou des joyaux.
14 Juillet
Pendant que les gens normaux s'extasiaient sur ce jour banal qu'ils appellent "la fête nationale". Mon esprit vagabondait dans des plaines inconnues où nagent des poissons volant aux nageoires de pétales, des boules de poiles au couleur froide sortaient du sol pour ce joindre aux nuages.
Mon paradis ce fit interrompre par un être qui enfonçant la porte de ma chambre arrachant qu'il le veuille ou non mon esprit à ce rêve étrangement peuplé:
«-Bon dieu ! Regarde ce qu'on a reçu ! Les résultats de ton CAP !!
-M'man...T'es pas obligée d'enfoncer la porte...
-Ouvre ouvre ouvre ! Viiite ! »
Une enveloppe sous mon nez, la logique m'oblige à obéir aux cries de ma mère et d'ouvrir. Mes yeux parcourent le polycopié, le blanc de la page me brulant les rétines.
«-"Admis".
-Vraiiiment !? Oh ma chérie fait moi voir ça !
-Mais on en était déjà sûr...depuis longtemps...
-Oui mais maintenant c'est officiel !
-Moui... »
Ma tête lourde s'écroule sur mon oreiller en même temps que ma mère sautille sur le parquer à travers le couloir. Je joue la blasé, mais un large sourire se dessine sur mon visage, sa joie est dangereusement contagieuse.
Je vis de toute force mes vacances, comme si, entre l'an dernier à la même date et aujourd'hui rien n'avait changé, rien n'était arrivé, comme si, il y avait une spéciale moi qui se réveille quand l'été fait surface.
Une moi qui se fiche complètement du monde, des gens, qui ne s'occupe que de ce qu'il l'intéresse et envoie au diable tous ce qui osent la gêner. Une moi qui ne voit plus la lueur du jour et vie cloitrée dans sa grotte telle une taupe. Une moi qui à son réveille fonce devant sa console pour jouer des heures durant à Xenoblade Chronicles, mange un morceau, puis retourne à ses occupations jeux vidéoludique.
Quand, à travers les maigres fentes des volets en permanence clos, des rayons apparaissent, elle fait une grimace de la bouche et retourne se cacher sous sa couette jusqu'à la prochaine mort de l'astre du jour.
Je l'aime cette moi, j'aime être elle, j'aime qu'elle soit moi.
Je suis heureuse de vivre seul, juste entre moi et moi.
En attendant Septembre, je la laisserais faire ce qu'elle veut. Ce que je veux.
J'ai de nouveaux fait parler mon clavier. Même après une long suspens mes doigts ont pianoté comme je l'ai toujours fait. Ca fait du bien.
Même ma mère qui s'inquiétait de ne plus me voir écrire était fière de me voir re faire du bruit sur les touches noires du clavier. «Tu recommences ta "thérapie ?"» Je l'espère, écrire ma tellement changé et fait grandir, sans parler de ma mémoire qui c'est incomparablement amélioré, je n'ai pas envie de m'arrêter en si bon chemin.
Un petit article faible et sans grande importance, mais je vais le considérer comme le premier pas d'un long voyage.
Sur ce.
Je sors la tête de chez moi, l'esprit fatigué d'une nuit blanche et les cernes mélangé à un trait de liner noir baveu. Un pied dans la rue puis je claque mes joue pour me donner un coup de fouet pour ne pas laisser mon cerveau s'envoler et ne pas me transformer en automate.
''Courage, la journée sera courte, tu finis juste après la cantine aujourd'hui !'' La cité des livres qui rêvent dans le nez, j'approche des environs de mon lycée. Sans même regarder où je vais, mes jambes suivent un chemin qu'elles connaissent depuis longtemps par coeur.
Bien que je Sur-Adore ce livre, j'ai l'impression de le lire assez lentement je l'ai commencé il y a deja quatre jours et je n'ai même pas atteint la moitié du livre. Il faut dire aussi que je ne suis pas habituéeà lire de tel pavé.
Quand je relève la tête, je vois Marie à quelques pieds des miens, elle se retourne au même moment. Je m'accroche à son bras et replonge mon museau entre les lignes, me laissant guider.
EPS :
Disneyfan est déjà devant les portes du gymnase, nous voyant elle se lève et trottine vers nous. Marie qui ne l'aime pas trop fait demi tour pendant que Disneyfan attrape mon bras et me traîne d'un pas pressé vers les portes où elle s'écroule en les faisant trembler.
«-Assieds -toi ! Alors ça va mieux dans ta vie ?
-Dan..
-Moi ça va pas, en ce moment. (Incroyable j'ai même pas eu le temps de placer plus de deux syllabes) Tu vois je vais voir Machin ce midi, pour qu'on mange tous les deux, j'aime le voir tu vois mais (Et c'est reparti...)Quand je suis pas avec lui, j'me fais trop des films tu vois ? (Lalala ♫) Je lui fait plus confiance après la crase qu'il m'a fait ! (Son copain la tromper, toute l'école le sais, et je pèse mes mots, les amis, des amis, des amis des les élèves du lycée le savent aussi.) Et pourtant quand je l'ai rencontré pour la première fois, c'était une merde ! Il foutait rien, il prenait pas soin de lui, il attendait que sa mère lui paye tout ! Et moi tu vois je lui donnait un avenir, c'est grâce à moi qu'il à trouvé un travail, c'est moi qu'il l'est obligé à mettre plein de CV à Mcdo et à Quick (Trop cool son ''Avenir'', j'veux trop le même...). Toi qu'est-ce que tant pense ? (Ah ? J'ai le droit de parler?)
-Je p'...
-Je sais trop agressive, craintive ?
-Peureuse ?
-Ouais, alors que je lui ai offert tout...Encore s'il me l'aurait dit tu vois... ''Faute avouez à moitié pardonner'' ! (Je dirais plus ''Si la jeunesse est une maladie on en guérie bien vite''). Alors que c'est Machine qui me la dit ! Tu te rends compte? Elle !
-Qui ?
-Tu te fous de moi ? Elle est dans la classe.
-Aaaah ! (Elle parle de Doggy, j'avais complètement oublié son vrai nom....Cette concierge si elle s'occupait de son C*l parfois.)
-Bref, Blablablablabala »
J'ai regrette d'être arrivé si tôt...
Le prof arrive enfin on peut entrer dans le gymnase. Disneyfan qui m'a apparemment déclaré comme confidente de la journée ne ma lâcheplus, et surtout m'assomme avec son blabla qui n'en finit pas. Comment fait elle pour avoir autant de salive ?!
« J'ai besoin d'un câlin... »
Je lève légèrement les mains pour lui dire ''Vas-y''. Elle s'écroule sur moi en me donnant au passage un coup d'épaule dans le nez.
Elle se redresse et me caresse la tête :
« -T'a les cheveux secs !
-Et alors ?
-C'est bizarre on dirait de la paille (T'exagères...) Ça donne un effet gras !
-Tu trouve que j'ai les cheveux secs alors j'ai les cheveux gras?
Elle ignore ma réponse et continue en me pinçant les vêtements
-Et tes fringues ! Franchement tu prends pas soin de toi ! T'es jolie c'est pas pour rien !(Elle veut me donner un avenir à moi aussi?) Ah ouais je pourrais t'emmener avec moi voir Machin comme ça je pourrais t'embraser devant lui pour le rendre jaloux. Hihi (Ouhou ! Il se sent bien ton cerveau ou t'a préféré te le mettre dans le fion pour avoir un plus gros c*l?! Alala je m'emporte...) Oh ! Oh ! Viens on va se faire des passes !! »
-Oh non pas de sport...
J'en ai franchement ras la casquette, bon sang qu'est-ce qui m'empêche de l'envoyer promener ?!
« -Aller !! Viens !! T'es maigres toi au moins ! »
Ah, ça c'est déjà plus intéressant à entendre, la pauv' petite toujours aussi complexé par ces rondeurs, elle ne pourra jamais vaincre ces gênes. Disneyfan attrape un ballon et m'oblige à lui renvoyer la balle comme dans une compétition de volley-ball, je n'ai jamais eu la flamme de la compétition et n'ai jamais réussi à trouver la bonne réaction aux sportifs qui essayent de me faire partager leurs...Folie !
« -Aller plus haut les bras !!
-Je fais d'mon mieux...
-Ah donc tu vois, machin, avant il attendait qu'on lui paye tout tu vois ? (Ba comme toi non ? Enfant gâté! T'a eu combien de portable qui on dépassait les 500 euro durant les deux dernières années? Moi j'ai compté quatre ! Quatre !! QUARTE !!!!) Grace à moi il a eu un super boulot...Blablablablabalablbllablablablablala.
Je pousse mon dernier soupir, j'esquive la balle « Bah !Qu'est-ce que tu fous? » je la laisse aller la chercher et me tire.
J'ai fait des efforts. Sincèrement. Non je l'ai quand même crié des insultes sans même qu'elle sans doute. J'y arrive plus. Faire semblant me gonfle. Je préfère m'isoler plutôt que de faire une crise d'urticaire pour leur faire plaisir. La cité des livres qui rêvent sur les genoux, je suis mon dragon favoris en proie à une mort proche. Survie ! Le livre est loin d'être à son apogée ! Tu ne peux te contenter d'une fin aussi anonyme !
Le prof pose sa main en sueur sur ma joue, me faisant sursauté comme jamais. C'est sûr, un truc humide et collant me surprend alors que j'assiste à un combat épique entre deux limaces gigantesques à quinze bras dans une grotte sans queue ni tête dans le noir recouvert jusqu'aux hanches de...Ah! Faut pas que je raconte la suite ! J'adore ce bouquin !
«-Tout le monde est déjà parti cocotte
-!
-Haha c'est si bien que ça ? Je peux ?
Je lui tends le livre, qu'il retourne aussitôt pour lire la quatrième de couverture. Un truc que je ne fais jamais, c'est tellement mieux de tout découvre au fur et à mesure !
Je le vois lire les yeux plisser et en articulent des mots de ses lèvres sans sortir de son.
Il me le rend
«-C'est bien ?
-J'adore. »
Il sourit et me raccompagne jusqu'à la porte.
« Allez à plus cocotte ! »
Math :
J'arrive juste à temps.
De ma place j'attends le dos droit que la prof me regarde, pour tenter de me consentir à entreprendre une activité.
Elle finit par poser les yeux sur ma présence immobile :
« -Et ton chapeau alors ?
-Humm...
-Je croyais que tu allais utiliser du papier mâché ?
-Je l'ai fait.
-Ba c'est où ?
-J'ai laissé tomber.
-Tu as laissé tomber ?! Mais pourquoi ? »
Je hausse les épaules, elle aurait bien continuer, mais mes camarades suscitent de trop forte attention pour que la prof réussisse à me parler plus de cinq minutes. Et ça je le sais bien.
Elle me fait finalement faire des cubes en papier de couleurs pour les autres qui ne trouvent pas quoi faire comme décoration sur leurs chapeaux.
Je m'amuse enfantinement à détruire deux sur trois de mes cubes. Doggy, arrive soudainement vers moi en pointant du doigt un mini cube rose : «Oh c'est trop mignon!»
A peine finit sa phrase que j'écrase le petit cube et fait un panier dans la poubelle à l'autre bout de la classe. Doggy s'enfuit dérouter par ma réaction. Moi non plus je ne sais pas trop qu'elle était ce réflexe de bulldozer en culotte courte :
«-On ne lance pas de papier à travers la salle!»
-Pardon madame.»
Cantine :
Je me place au bout de la table. Je l'ignorais, mais presque que tout le lycée est en période de stage, il ne reste sûrement plus de trois ou quatre classes. Je pourrais en profiter pour commencer à manger à ma propre table. Je n'aime pas manger isolé mais, je n'aime pas non plus me ranger avec elles en permanence. Et à mon avis elles non plus. Qui aimerait la présence de quelqu'un lui fait la gueule du jour au lendemain à sa table chaque jour ?
Dehors, le ciel est bleu, le soleil Généreux . Les beaux jours reviennent.