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aterreur : On a le même age, ton style est unique, il prend au trip et j'aime beaucoup te lire, l'impression de pas être le seul à essayer de me dépatouiller dans la vie... PRofite bien et à bientôt !
lancien : Plus d'article. Que deviens tu? Bonne année
J'ai découvert ce soir même un raccourci de clavier sur photoshope: Ctrl+i. Qui permet d'inverser les couleurs, le noir devient blanc et etc...
3 Février
Pour annoncer mes derniers jours dans son atelier, madame Helena nous m'a proposé de fabriquer le vêtement de mon choix. Avec joie et enthousiasme, je lui ai crayonné une petite robe simple sans manche et à la jupe cloche.
Mais en la voyant travailler le tissu, dévoilant ces secrets » comme elle le dit, j'ai été refroidie. Glacée plus psychologiquement que je ne l'étais déjà physiquement.
Pour la jupe elle roula le tissu comme un cône de glace puis coupa les extrémités sans connaissance de taille, de hanche ou de longueur. Sous ma bouche grande ouvert elle déplia le tissu et déposa entre mes doigts rougis du froid, une jupe en un seul morceau.
Une jupe sans couture. Une jupe sans couture...Je me promis d'en parler à ma prof pour observer si nos réactions seraient semblables.
« A toi de faire le haut maintenant. »
Je n'ai pas osé refuser et abandonner. On me laissa seule dans l'atelier, tous les autres réaménageaient la boutique au rez de chaussée. Je supposais qu'ils faisaient du bruit, je suppose parce que de toutes façon je ne les entendais pas. J'avais pris comme habitude de me créé une bulle avec mes écouteurs. Ce qui m'a valu de très bonne appréciation de madame Helena a ma prof. « Elle est la plus calme, elle écoute sa musique et travaille ! C'est tout ! »
Face à face avec mon tissu, je me suis finalement convaincue que je suis en position de me la jouer « artiste comme ma prof dit.
J'ai fait le devant en un morceau, le dos juste séparé par la futur place de la fermeture éclaire. Et des pinces dont je n'ai même pas calculé la taille.
J'avais un peu honte de moi, honte de mon travail, j'ai l'habitude de faire les choses dans les règles de l'art. Pas avec un fronce par-ci, un fronce par là, pour que ce soit présentable.
Le vêtement tel que je l'ai appris, épouse avec harmonie le corps. Celà se doit d'être beau, pratique et confortable. Avec d'innombrables points invisibles et autres ourlets à la main.
Pour être parfait. Dans un monde dont je rêve parfait.
Bon, je me suis offert comme excuse le fait que je n'avais plus que deux jours pour finir ma robe avant mon départ.
Sinon je me suis décidée de mon chemin. L'année prochaine j'irai en formation Chapellerie. Un CAP que je conclurais en un an et sans les matières générales.
J'ai les pieds frigorifiés par l'hiver, mais c'est aussi la saison ou mon chat est la plus belle.
29 Janvier
Vendredi dernier, j'achevais enfin une nouvelle semaine de stage.
Plus qu'une à finaliser a présent.
Dans le métro en route direct vers chez moi, je ne parvenais pas à me concentrer sur mon roman. Je le ferme et le pose sur mes genoux serrés. Inutile de se forcer à lire, ça ne fait que gâcher l'histoire. Je dépose ma tête contre la vitre sous qui Paris défile. Sur le moment, j'aurais aimé pleurer, laissé mes yeux fatiguer de concentration se remplir d'eau salé. Mais on ne se laisse pas aller dans les lieux publiques. Je ferme les yeux pour me créer une bulle de rêve. Il n'y a alors plus rien, plus personne, plus air ni eau, plus terre ni mer. J'ai hâte de rentrer chez moi, m'allonger dans mon lit, me caler si bien entre les oreillers qu'au petit matin j'aurais les cheveux plus en désordre que jamais.
J'ai également fait des portes ouverte d’école avec ma mère pour décider de mon avenir.
Ce que je trouve ironique, c'est qu'au collège, on me menaçait toujours comme quoi je ne ferais jamais se que je veux ou se que j'aime. Et aujourd'hui,
j'ai tout simplement le choix de tout faire...
Je peux aller en Bac pro, en deux ans au lieu de trois dans mon lycée actuel, je peux aller faire un autre CAP, dans la broderie, dentelle ou encore modiste selon mon choix. Ou soit, un choix plus sérieux qui est d'aller en alternance...
Mais je n'ai pas envie de tout de suite aller travailler tout de suite. Mais en même temps deux ans de bac c'est long, surtout que je me retape tout le général. Et d'un autre côté je ne me sens pas motivée à faire un CAP, même accélérer en un ans seulement...
Encore que...
Bref j'ai encore un peu de temps, pour réfléchir. Et choisir.
Cocorosie
PV: Gallows
J'ai remarquer que sur photoshope contrairement "à la main" je n'ai pas le reflex de mettre ma signature...
Un satyre oui, je n'arrivais pas à faire les jambes, j'en ai eu marre et j'ai dessiné des jambes de cheval ou une autre bestiole. Ça donne un genre....
21 Janvier
J'achève enfin ma première semaine de stage, Madame Héléna est charmante, sa langue me ramène à mes racines paternelles et mes camarades stagiaires sont gentils et tous très différents les uns des autres. Deux viennent du fin fond de la France et se sentent à Paris comme au nouveau monde. Une de mon âge, mais bien plus grande est un peu timide, mais rigole facilement, la deuxième née un jour après moi, mais bien plus petite sort tout droit d'une cité, malheureusement pour elle difficile de ne pas le deviner à sa façon de parler, le grand black qui, belle et bien en terminal Bacpro, ne sait qu'a peine tenir une aiguille, rêve de travailler chez Dior ou Chanel et ose critiquer mon CAP. Et pour finir la blonde qui vient elle aussi de la rase campagne. Ce qui fait moi y compris huit stagiaires, je me demande si Madame Héléna a le genre d'entreprise à tourner principalement avec des stagiaires.
Mon travail de la semaine consistait à fabriquer puis décorer à l'aide de perles, paillettes et strass un "Body" comme ils l'appellent. Un justaucorps qui pourra servir aux patineuses, danseuses ou d'autre occasion, selon la déco. Ça ne m'a pas passionné, mais qu'elle me donne un travail à "responsabilité" dès le premier jour m'a fait plaisir. J'espère la semaine prochaine j'aurai un travail qui me motive quitte à ce que ça me prend du temps et la tête.....Alouette !
Anecdote : Un soir, je me suis énervé et ma rage s'est tournée vers mon portable. Je l'ai lancé en l'air et j'ai foutu un coup de pied dedans, tel un joueur de foot. Le pauvre s'est envolé à travers le couloir. Résultat l'écran ne marche plus, juste un flash blanc quand on tripote les touches. Tant pis, je me suis dit, j'ai la chance de ne pas faire partie de ces ados accro à leurs téléphones. Au contraire je me sens bien sans lui.
11 Janvier
Je me recroqueville sous ma couette, me colle le plus possible contre le mur,
Je veux m'endormir, m'endormir vite, dormir pour oublier tout remettre au lendemain.
Je m'endors sur "Wataboushi" de the back horn
12 Janvier
Je rêve de ma sœur et de ma mère.
Ma mère, à genoux face à ma sœur, lui fait ses lacets. Elle se relève et attrape la main de ma sœur, qui geint d'avoir mal aux jambes. Ma mère lui tire le bras pour la faire taire.
Puis claque la porte, laissant le couloir silencieux et noir derrière elles.
J'ouvre les yeux dans une pièce sombre, je tourne la tête pour vérifier l'heure, j'ai une demi-heure pour me préparer, je sors d'abord une jambe mais elle se glace au contact de l'air froid, je la range aussitôt sous ma couette en tremblotant.
J'inspire un grand bol d'air et expire le tout lentement pour me convaincre que je ne reste pas éternellement ici.
Je m'enroule dans ma couette et petit pas par petit pas je m'engage dans le couloir noir.
J'attrape des vêtements propres dans le seche linge, je les jette à terre dans la salle de bain, puis me sépare enfin de ma couverture avant d'entrer dans la salle de bain.
Lavée mais en serviette je cours dans tout l'appartement, pour retrouver tout ce que j'ai balancé dans tout les sens la veille.
Et bien sûr, ça n'a pas manqué ; une feuille des plus importantes pour mon stage, qui commence lundi prochain, reste introuvable.
Je me sens irritée et sur le point de craquer. De mes mains je sers mon crane pour me sortir une solution de la tête.
Je dresse la tête les yeux comme des billes en trouvant cette fameuse solution.
Dans Mon "tiroir à bordel" j'ai des photocopies de cette fameuse feuille, mais comme écrite pour mon premier stage, je m'arme d'un blanco.
«Le blanc de se verra pas si je photocopie ! »
Je remplis tout ce qu'il faut, mais il me manque encore le tampon de mon maître de stage...Pas le choix, je vais y faire un saut avant d'aller en cours, je ne suis de toute façon plus à une heure près maintenant.
Je vérifie soigneusement mon sac avant de pousser la porte, mais bien sur, ça non plus, n'a pas manqué : mes clés reste introuvable, moi qui les range TOUJOURS au MEME endroit pour que JUSTEMENT ne jamais les perdre...
Je laisse mon sac tomber à terre et retourne dans ma chambre déjà sans dessus dessous pour la retourner encore et encore pour ces satanés de clé.
« Chiotte et puis merde ! »
J'abandonne, je fais un bisou à mon chat, avant de claquer la porte.
En chemin vers le métro, je croise ma mère, elle prend mon visage entre ces mains :
« -Tu es toute pale, ça va ?
-Humm...C'est rien. A ce soir.
-Bisou ma chérie ! »
Pour me rendre à mon lieu de stage, le plus simple, est de parcourir les trois/quart de la ligne...
Je profite de ce moment de repos, pour fermer les yeux, je m’endors littéralement, heureusement l'homme qui était assis à côté de moi me réveille en se levant, et descend justement à la même station que moi.
Épuisée, je suis presque morte, je ne marche même plus droit.
Arrivée à la boutique ou je devrais travailler cette chère madame Helena toujours charmante me signe et tamponne ma feuille sans se rendre compte qu'elle a déjà signé une similaire. Tant mieux pour moi.
Je la remercie infiniment, et lui promets que le soir même j’apporterais ma convention.
En sortant, je me suis étonnée moi même, d'avoir parlé si nettement et poliment alors que je suis complètement HS.
Maintenant direction le lycée. Je regarde ma montre et souris en m'apercevant que j'arriverais pile à l'heure de la récré ce qui veut dire que je ne serai pas obligée de poiroter devant la porte durant des siècles.
A quelques minutes du lycée, je reçois un SMS de la Concierge (L'autre jour j'ai entendu Monkey et elle parler ensemble :
« -Moi j'suis un singe, on a aussi un chat, un hamster, mais il manque toi...
-Je veux rien être !
-Un chiwawa ça t'irais bien !
-Quoi ?!!
-T'as vu quand tu cries on dirai un p'tit chien ! »
Le surnom de Doggy lui irai bien.)
Donc je reçois un SMS de Doggy : « Tu vien pour manger. » J'aurais aimé bénéficier d'un "S" a viens et d'un point d’interrogation à la fin de la phrase mais j'en demande sûrement trop.
Je lui répond que je suis déjà presque arrivée devant le lycée.
Devant le canal je l’aperçois avec La blonde des Bac pro, elles me prennent toutes les deux dans leurs bras, un peu déboussolée je leur demande :
« -En quel honneur ?
-Tu t'es disputée avec "elle" pas vrai ?
Je marque un temps pour répondre
-Mais non voyons ! »
La cloche sonne, en le voyant arriver, ma prof me dit sur un ton supérieur :
« -Ah ! C'est a 10h et demi que vous arrivez ? C’était bien la grasse mat' ?
-Non...Pas du tout, je me suis rendu à mon lieu de stage. »
Elle n'a pas répondu, elle s'en fiche clairement, si elle ne peut me critiquer la conversation ne vaut rien pour elle.
Enseignement professionnel :
La guerre froide, c'est le sentiment que me laisse ma relation avec Monkey. Elle qui me fait habituellement de gros câlins en criant « Bonjour !! », là rien.
On évite tout regard, tout contact physique et sonore.
Tant mieux dans un sens, j'arrive bien a me concentrer sur mon travail.
Après avoir bien avancé, je m’accorde une petite pause, je vais alors voir Disneyfan qui s'ennuie dans son coin. Elle me complimente sur ma coupe garçonne :
« -Ça te va bien, si tu serai un mec tu serai trop mon genre. T'es trop sex !
-Aah...Merci.
-J'peux t’épiler les sourcils ? Franchement tu serais trop beau !
-Nan.
-Haha, avant t'avais les cheveux Hyyyper long, après t'as fait une coupe en mode poupée et après en mode garçon.
J'en avais un peu marre qu'elle me compare a un mec en me caressant la tête, je lui réplique avec humour :
-Tu veux pas que j'arrive sur mon cheval blanc aussi ? »
J'entrevois Monkey grommeler en se tripotant les mains, j'aimerais lui dire « Travail ! »
Cantine :
En descendant les marche lentement, je me demandais si je devais manger avec le groupe ou non, être seule me manque un peu, quitte à ce que j'ai l'air ridicule à bouffer en solo, ça ne me déplaît pas.
Sauf qu'a être dans mes pensées je m’aperçois que je suis déjà assise dans le groupe à consommer mon entrée. Je hausse les épaules et continue à manger.
Une fois avalé, je me dirige vers le préau, pour comme hier me reposer un peu.
Je m’endors enfin, je m’endors si profondément que quand Doggy viens me réveiller, je suis à deux doigts de lui dire « Maman tu peux me couler un bain ? »
« -Mam....Hein ?
- »Elle veut te parler.
-(Monkey?) Ba elle a qu'a venir...
-Nan elle t'attend au deuxième.
-Et c'est elle qui ta envoyé ? Pourquoi t'as accepté ?
-Aller debout !
-Mais... »
Elle me tire par le bras, je la suis jusqu'au deuxième étage. Doggy nous laisse alors toute les deux. J'ai envie de lui dire que Doggy n'est pas son chien...(Ça fait bizarre d'écrire ça...) Si c’était si important elle n'avait que venir elle même.
A moitié endormie j'ai du mal a me concentrer sur ce qu'elle me dit, je n'arrive qu'a répondre que par des « Aah. » ou des « Huum. ». Mais en gros elle est désolée, elle sent que c'est de sa faute et me demande de lui pardonner d'avoir dit "ça". "Ca"? Je ne sais même pas de quoi exactement elle veut parler...
Elle me prend dans ces bras, et me serre comme une enfant qui a reçu une nouvelle poupée.
« Mon bébé chat ! »
Je ne répond pas, je ferme les yeux et manque de retomber dans un sommeil profond.
« -Viens on va dehors !
-Dehors ?!
-Oui il fait beau aujourd'hui !
-En janvier ?! »
Je me demande sérieusement si je ne rêve pas encore...Sur le bord du canal, je m'allonge et pose mes bars sur mes yeux pour me protéger des rayons du soleil.
Quelqu'un chevauche mon ventre :
«-Ça a sonner ma femme !
- ?! Ah c'est toi.... »
Elle m'embrasse et s'en va courir partout en sautant comme à son habitude. Son énergie est incroyable.
Enseignement Professionnel :
Assise à ma place, je me pose la question si j'ai officiellement fait la paix avec Monkey. Parce que de mon cote je lui en veux encore...Pas autant qu'hier mais...J'en sais rien, mon esprit marche au ralenti, je ferais mieux de me concentrer sur mon travail.
La veste sur laquelle je travail est un devoir pour le prochain CCF (Controle en Cours de Formation) Et sera également porté lors du défilé du lycée. Je m'applique alors au maximum. Mais j'ai tout de même vachement mal à l’épaule...
Pause :
Dans le couloir je m’écroule sur le sol, « fatigué... Fatigué »...Résonne dans ma tête.
« Ba ! Reste pas par terre enfin ! On dirait que t'es morte ! »
Je ne sais pas qui est-ce, mais elle prend ma tête et la pose sur ces cuisses.
Re enseignement professionnel :
La classe était calme toute le monde était sérieux silencieux...J'avais de la peine a y croire.
Le CPE, entra dans la salle, annonçant que c’était notre tour de faire la photo de classe.
Étrange, entre celles que ne sont jamais là et les trois qui ont été virées notre classe est minuscule.
Monkey, Disneyfan, Baby (qui n'a pas voulu venir sur a photo), Pepito, Doggy, La fille vulgaire et moi. Nous somme plus que sept ?! Sans compter la sorcière et sa hyène, elles plus elles sont absentes mieux je me porte.
Vu le nombre d’élèves, nous nous somme pas contentée d'une simple photo de classe. Ça faisait plutôt colonie de vacance !
Le CPE qui nous a servi de photographe, nous a proposé de d’apporter notre clé USB pour récupérer nos photo le lendemain.
Avant de quitter le lycée, je suis allé voir la directrice, pour qu'elle me remette la convention, puis dans le métro, je l'ai remplis comme je pouvais, signature etc...Et la fis signer par Madame Helena la charmante.
Enfin, direction, chez mon frère, on a parler de Pony toute la nuit, puis nous somme endormis. Pour qu'une nouvelle journée commence.
Ma prof de japonais nous a raconter son ascension sur le mont fuji.
Il lui a fallut près de 9h pour atteindre le refuge, dormant avec des inconnues sur des tatamis, pour n'avoir que cinq heure de sommeil, afin d'arriver au sommet en même temps que le lever de soleil.
Quel chance, je buvais ces paroles avec passion et envie. Même si elle se plaignait du froid de la fatigue, des courbatures et de la descente glissante et boueuse. Je me promis d'escalader moi aussi ce cher fuji-san.
Moi, petite citadine comme je suis, je ne peux que rêver de cet horizon infinie, du vent qui semble venir des champs, ramenant avec lui des pétales de fleur rose, des couleurs chaleureuse du ciel, du froid qui me gèle les mains mais de cette profonde joie qui me protège de tous regrets.
11 Janvier
J'ai passé une nuit blanche, sachant pertinemment que la journée me sera lourde et longue. C'est la seul solution que j'ai trouvé au problème "Matin difficile". Quoi de plus simple, quand on arrive pas a se lever il suffit de ne pas dormir.
«Sale môme, c'est stupide et dangereux pour ta santé !»
Me gronde ma mère, elle n'a pas tord, c'est pourquoi je ne trouve d'autre réponse que accélérer le pas, tapant de mes talons sur le parquet, en direction de la porte d'entrée.
Devant le grand miroir du hall de l'immeuble, j'ajuste mon écharpe pour cacher mon horripilent bouton d'acné qui est apparue cette nuit sur mon jolie menton.
«Je pense que personne n'y prêtera grand intérêt...»
Marmonnais-je en poussant la porte.
Je sens mes jambes moles, mon ombre a presque l'air de se déplacer plus vite que moi. Mes forces sont a telle point absente que je ne prend même pas la peine de courir pour attrapée le métro qui sonne afin de signalé son départ.
Et bien tu peux partir il aura un autre comme toi dans 3 minutes !
Dans le suivant, je me réjouis de trouver une place qui me tend les bras, je m'installe confortablement en ces mains, et me laisse bercé par le duo du train roulant sur ses railles et les musique de Mad River. Un groupe que j'ai découvert récemment, je l'ai adore au point que malgré tout mes efforts je m’obstine et me plais a écouter en boucle leur album. Je connais déjà la chanson "Shining" par cœur.
J'entre-ouvre les yeux pour surveillé mon voyage. Je pousse un long soupire quand je m’aperçois qu'il ne reste plus que deux stations. Je pourrais rester comme ça des années pourtant...
j'aplatis les paumes de mes mains sur mes joues pour réveiller mon visage et me donner du courage jusqu'à la prochaine chaise confortable.
Au lycée je croise La Concierge qui revisse ses cours sur les escaliers du hall remplis de cour en d'air
« -Tu n'as pas froid ici ?
-Ça va... »
Je me penche vers elle pour lui faire une bise, mais je me stoppe en me rappelant qu'elle est du genre a vouloir évité la banalité en se marginalisant des petites habitudes social qui l'entour. Ce qui m’irrite dans mon analyse de cette fille, c'est quelle ressemble beaucoup a moi de 11, 12 ans.
Je m’assis a cote d'elle les mains entre les cuisses pour me les réchauffer
La Concierge brise le silence :
« -Tu n'as pas mis tes lentilles aujourd'hui ?
-Nan, trop fatiguée...
-Et tu t'es coupé les cheveux.
-Oui, samedi.
-Ca te va bien.
-Merci. »
Français :
Sur la table voisine, Disneyfan déblatère sur ces problèmes avec son petit ami, dont tout le monde connais les péripéties:
Il lui a fait une propose en mariage, juste avant il lui a offert un sac de grande marque qui d’après se que j'ai entendu coûte, a manger pour une famille de 15 personnes pendant deux mois, ou en tout cas c'est ce que j'imagine, ah et que juste avant Disneyfan lui avait demandé d’être juste ami alors qu'ils étaient tout les deux en train de se promener main dans la main a Disneyland, quoi de plus logique ? Sans oublier que même si elle dit TOUT LE TEMPS « on va faire une pause hein ? » ils finissent par se coller l'un a l'autre mais qu'elle ne peux pas oublier ou pardonner ou je sais plus quoi qu'il la tromper avec la plus grande d’après ces mots "Pute du monde". Dommage pour elle ma petite Disneyfan, son film a elle semble bien proche d'un film réaliste avec une mauvaise fin et des rebondissement a en faire crever de pleure les protagonistes. Mais sinon elle porte fièrement a la bague de fiançailles en disant «Je ne la met plus demain ! ».
Ouuuaaah....On dirait les feux de l'amour !
La prof me voyant ébahis par la vie de ma camarade me rappelle a l'ordre et me conseille fortement de me concentrée sur mon Dossier.
Je dois faire une analyse simple sur les élections 2012, mais je n'y met pas vraiment du cœur a l'ouvrage. Non pas que je n'aime pas la politique mais le sujet est tellement large, que je ne sais pas sur quoi me concentrer.
Enseignement professionnel :
Nous sommes toutes (enfin mis a part les sécheuse (Dont je fais parfois mais de moins en moins souvent partis)) devant la classe pour l'instant sans professeur.
Je remarque le sac que La Concierge porte avec elle,
« -C'est quoi ce sac ?
-Oh ça ? Des affaires de rechange »
Je fouille dans le sac curieusement,
« -Oh ! T'as des converses ! Les miennes on signer leurs arrêts de morts pendant le stage, déchirer en miette, elle sente même le pourrie et pourrissent encore de le placard...
-Je te les prêtes si tu veux.
-Oh ! Cool mais je crois que tu a des pieds plus petits que les miens.
-Essaye on sait jamais ! »
Je m'assoie sur le sol et enfile ces chaussure
-Oh, la taille est parfaite !
-En échange tu me prête tes bottes ?
-Pas de problème. »
Quelle plaisir de sentir le sol quand on marche ! Les talons a être obligeait de les portait j'en pouvais plus, ces chaussure plate pour moi son le paradis !
A l'arriver de la prof, on s'installe conne le veux nos habitudes. Au tableau la prof a déjà inscrit l'emploi du temps du jour, en premier c'est le contrôle.
Devant ce contrôle j'ai bien sentis. Je connaissais mal mes leçons, ça ma déçu de moi même. Je veux me reprendre en main.
Sauf que ça je l'ai déjà dis...Il faut VRAIMENT que je me reprenne en main.
De belle résolution prise, aussitôt détruite pas un terrible ennemis : La fatigue.
Elle me tape sur le système, je n'arrive pas a me concentre, je découpe en biais une grande feuille avec que je devais juste découper les patrons. Qu'est-ce qui ma pris de faire un truc aussi sans-logique ?
La prof est hors d'elle, me redemande par cent fois comment j'ai pu faire il telle bêtise.
« -Et bien ça....C'est une bonne question. »
La sonnerie annonçant la pause me sortie des hurlements de madames.
Pause :
Avec Monkey, on s'installe au cotés du radiateur du troisièmes étages. Elle commence a ce plaindre de Disneyfan qui est selon elle « Trop conne de rester avec un mec aussi con. », je ne l’écoute que d'une seul oreille, épuisé je m’écroule sur le sol frais, Monkey ne met pas longtemps a me rejoindre. Allonger sur mon cœur, je me suis sentis bien avec elle.
Peut-être un peu trop bien, peut-être a cause de la fatigue ai-je sortis une telle idiotie :
« Dis ça te dirais qu'on sorte ensemble ? »
Elle s'est lever sec et ma dévisagé, je lui ai renvoyer un regard interrogateur.
C'est alors qu'elle sait mis a rire.
« -Qu'est-ce qu'il y a de drôle ?
-Nan ?! T'es sérieuse ?
-Pourquoi je ne le serai pas ?
-J... »
Elle sait arrêter de parler en voyant quelqu'un arriver, j'ai hausser les épaules, au même moment la sonnerie de fit entendre.
Re enseignement professionnel :
J'ai passer toute l'heure a réparer ma stupide erreur pendant que mes camarades progresser dans leurs travail. Il faut vraiment que je me reprenne en main me disais-je entre deux bâillements.
Monkey a éviter mon regarde, je met ça sur le coup de la surprise, même moi je ne m'attendais pas a se que je dise ça....
Cantine :
En déposant les plats sur mon plateau je savais que je n'allais rien manger, c'est souvent comme ça. A table avec le groupe, je les observait les yeux a moitié vide, tout en réfléchissant. Je crois que je regrette un peu la moi introvertie, renfermer, qui se croit supérieur a beaucoup. Elle au moins avait de bonne note...Il faut que je reprenne certaine de mes mauvaises habitudes, quitte a me prendre pour la reine de cœur.
Je me lève, attrapa mon plateau impeccable et quitta le réfectoire.
Dans le préau, ou je me réjoui qu'il n'y ai pas un rat, je m’écroule sur le canapé le plus proche, tout en prenant soin a mettre mon écharpe d'une façon a qu'elle me serve d'un confortable oreiller.
Puis me laissa rapidement aller.
Monkey me frotta l’épaule pour me réveiller et me chuchota :
« -Debout ça a sonné !
-Hummm....Déjà ?
-Oui ! Et si tu te lève tu auras un cadeau !
-Aaaaah....Cool.....
-Ah ! Te rendors pas! »
Sans que je m'en soit vraiment rendu compte elle n’emmenait par la main a travers les couloirs. A quelque pas de notre salle, elle s’arrêta, le couloir était vide. Monkey se retourna brusquement et me déposa un baiser sur mes lèvres.
Sur le moment je n'ai pas vraiment réagis, mais en entrant dans la salle de classe impossible pour moi de ne pas avoir un petit sourire en coin.
Français :
On achève de lire une pièce de théâtre, simple et agréable je l'ai bien aimé, bien qu'un peu courte, si courte que je ne me souviens même plus du titre.
PSE :
Il y a un contrôle, je ne connaissais même pas le sujet...De tout savoir par cœur me manque, j'ai envie de redevenir une tête comme a mon arriver dans se lycée...Je me suis laisser aller et voilà le résulta...J'ai même peur de rater mon CAP. Ah, ça, ça me fait très peur.
Pause :
J'ai une nouvelle fois Monkey en tête a tête. Au dernier étage on es toutes les deux accoudées face a la fenêtre.
« -Tu sais ma es déjà sortis avec une fille.
-Ah.
-Elle s’appelait Lucie, mais elle a déménagé.
-Ah.
-Alors j'me dis je devrais peut-être essayer aussi..de sortir avec une fille
-Ah.. »
J'ai souris a mes pieds, puis tournée la tête vers elle. J'ai tendu ma main vers sa joue, quand j'ai avancer mon visage, elle a écarquillé les yeux et a reculer de deux pas. Sur le coup j’étais aussi surprises qu'elle.
« -Ba...Enfin...Je croyais...Tu... »
Je m'interrompis en voyant les la sorcière et sa hyène arriver. Elles demandèrent à Monkey de leurs acheter une canette pour elles et une canette pour nous. Monkey toujours égale a elle même accepta.
Nous dévalons les escaliers, quand je me suis aperçus que tout était très calme et désert. Je saisis Monkey par le bras, je regarda une dernière fois autour de moi qu'il n'y es personne et me tenta a une nouvelle tentative, elle eu la même réaction, mais en gloussant en plus. Ce n’était pas les regards qui la gène alors...C'est vraiment qu'elle n'a pas envie...La j’étais vexé.
Je soupira et elle m'attrapa par le bras.
Elle évite ? Elle m’évite? J'ai du mal a la comprendre, c'est bien elle qui m'a embrasser devant la salle de français, je sais faire la différence entre rêve et réalité quand même …
Au franprix, alors qu'elle sélectionnée deux canettes qui rentré dans son petit budget, je m’accroupis a cotes d'elle.
« Pourquoi je ne peux pas t'embrasser ? »
Ba oui quoi...Autant être claire parfois...Mais sur mes mots, elle a encore gloussé et ai partis en sautillant vers la caisse. Je soupire une nouvelle fois. J'ai plein de point d’interrogation dans le crane, et elle refuse de me donner des réponses.
Anglais :
Je n'ai une fois de plus rien fait dans cette matière, rien a part chantonner l'air de Shining qui s'est graver dans mon cerveau.
J'ai lever les yeux vers la pendule, plus que quelque minutes...
Dehors, Monkey semblait guillerette, la voir sauté ainsi me rendais moi aussi de bonne humeurs.
« -Dis ?
-Hum ?
-Tu peux m'accompagner chercher un stage ?
-Okay ! »
(En retapant ce moment je me dis que refuser comme je le voulais aurai était tellement plus simple. Quelle conne.)
Elle m'a tenu par la main, durant tout le trajet. C'est mignon et je dis pas non, mais c'est trop simple pour moi et j'aimerais un peu plus....J'ai attendu a l’extérieur de la boutique pendant que Monkey se pressentait a son possible maître de stage, j'ai pu réfléchir.
Elle m'a embrassé, elle m'a qu'elle voulait bien essayait de sortir avec une fille, qu'elle a des doute sur une possible Bi sexualité, mais refuge quand, moi, je veux l'embrassé. C'est de la timidité? De l'intimidation ? Ca ne lui ressemble pas...Mais il est possible que je l'a connaisse mal...Je devrais peut-être plus sauvage ? Agir comme les mâles avides de sexe dans les yaoi qu'elle adore et sur lesquels elle fantasme....Mais ça pourrais aussi la traumatiser...Et c'est pas mon genre en plus...
Humm...C'est évident qu'elle a honte, je suis une fille aussi après tout, ça doit être déstabilisant pour elle...Je n'arrive pas a savoir si tous ca est un Non mal assumé ou un Non déguiser en Oui.
Elle....Elle est compliqué...
Une fois sortit, on aller s'installer au pied de mont-martre qui ce trouver a quelque metres, "pour parler" qu'elle ma dit...
« -Parler de quoi ?
-Si t'es sérieuse.
-Hein ?
-O...Ok je veux que tu me redemande
-Ok. »
J'ai pris une grande respiration, puis j'ai plonger mon regard dans le siens
« Veux tu sortir avec moi ? »
Elle a lever les yeux au ciel pour éviter mon regard, j'ai soupiré alors elle a tous de suite enchaîné :
« -En faite j'ai pas envie de te blesser !
-Ah. C'est un Non alors ? Et tu peux pas le dire clairement ?!
-Mais ! Je veux te voir sourire!-
-Ah !Alors c'est pour ça que tu m'embrasse, comme ça pour ne pas me blesser ? Mais c'est ça justement qui va me blesser.
-Pourquoi ?!
-C'est ce qu'on appelle des encouragements.
-Mais je veux juste que tu reste mon bébé chat. J'veux pas te perdre !
-Me perdre ?
-Mais oui après je pourrais même plus te toucher...
-Toucher comment ? »
Elle me caresse le haut de la tête comme réponse, j'ai eu un peu... Nan beaucoup d'irritation sur le moment :
« -Tu me prend pour ton animal de compagnie ?!
-Mais nan c’était une blague ! »
J'ai soupirais.
« Nan ne fais pas cette tête ! »
Elle commence a m’emmerder...On a parlé sur ce banc et je me souviens pas clairement de tout mais je me souvient surtout de cette phrase qu'elle a sortie s'en réfléchir :
« -Pourquoi tu n'ai pas un garçon...
-Un quoi ?!
-A pardo...
-Nan mais tu te fout de ma gueule?!
-Hein ? »
Je n'ai pas envie de lui expliquer, ça serai trop long, ce ne mènerais a rien, et j'en pleurais sûrement... "Si tu était un garçon" ?! Non mais quelle conne, ça veut dire qu'elle est parfaitement capable de m'aimer c'est juste cette lois stupides qui est écrit dans sa petite tête d'esprit simple qui la bloque?! Je lui ai dit pourtant, « Je veux que tu réfléchie à moi en tant qu'humain pas en tant que genre ! »Quelle conne !
Elle m’attrape par le bras,
« J'en ai ras le bol je rentre. »
Je n'ai pas écouter sa réponse, je m'en fous.
Elle a marcher derrière moi jusqu'au métro, puis on a pris la même ligne. Elle est rester a cote de moi malgré ma froideur qui sait se fait blessante.
Pendant que les stations défilent, j'imaginais ce que ça aurait pu être. J'imaginais.
On se serai retrouver de façon a aller en cours ensemble, les jours où les métros aurait été bondé je l'aurai prise dans mes bras pour la protéger de la foule, on aurait réviser ensemble après les cours. Dans les couloirs elle m'aurait regarder dans le blanc des yeux, malgré que je rougisse a son visage si proche, je n'aurai détourner le mien, pour rien au monde, nous nous saurions embrassé avec ce pincement au cœur de la peur d’être vue.
Je suis une pauvre petite gamine romantique. Et je sais que ce genre de chose n'a plus sa place, et surtout pas avec elle.
Au terminus, elle me suivit aussi, elle me suivit jusqu'à ma rue. C'est la ou elle m’attrapa le bras, et baissa mon casque pour que je puisse l'entende :
« -C'est pas vrai je n'aime pas te voir comme ça...
-Rentre chez toi.
-Mais qu'est-ce que t'a ?
-Qu'est-ce que j'ai ?! J'ai....Je suis fatigué, j'ai mal au pied, j'aimerais aller me coucher alors maintenant rentre chez toi.
-Nan ! Je te laisserais pas passer !
-Ah bon ?
-Nan nan c'est bon...Ok !
-Quoi ?
-Si tu veux je viens chez toi, je dors chez toi, et tu fais tout ce que tu veux de moi !
-Ha ?
-?
-HA !
Je l'ai pris par le col et la plaqua contre le mur
-Tu fous de ma gueule ou quoi ?! Nan mais tu me prends pour quoi?! Et tu TE prends pour qui ?! Rentre chez toi tu m’emmerdes !
-A tu veux que je rentre ?
-Oui ! Casse-toi ! »
J'ai bien vue que ces yeux était remplis de désespoir enrager et triste. Mais je m'en fichait, j’étais remplis de haine, je ne voulais la voir, ni elle ni personne. Elle partie, j'ai continuer mon chemin sans me retournée.
Une fois rentré chez moi, je ne trouver rien de mieux a faire que de donner un coup de pied a toute les portes qui croisaient ma route. Puis m’enroula sur mon lit. Mon chat bien sur était là, elle est toujours là.
J'ai versé trois larmes, dont je n'arrive toujours pas a connaître la signification. Je n’étais pas vraiment intéresser par Monkey c'est juste que je me disais que j'avais mes chances avec elle, et que si on commencer quelque chose peut-être sa serai devenue sérieux de mon cote, mais rien de tout ça n'est arriver. Je suis la dernière des idiotes, je critique Disneyfan sur ces histoires, mais moi je l'ai crée moi même les problèmes !
J'ai hâte de m'endormir, pour tout mettre a demain. Demain, d'ailleurs je vais voir mon frère j'ai hâte de le voir, il ne va sûrement pas aimé mes cheveux toujours plus court... Il faut aussi que je lui demande d'acheter Amy sur le PSN, même si ce jeux a eu de très mauvaise critique il m'intrigue. Bien sur je le rembourserai...
Me revoilà en train de parler de futilité....
Je suis vraiment épuisée, je n'ai plus la force de me relire, je vais poster l'article telle quel...Désoler Maud si je te donne beaucoup de travail cette fois...